2017 08 04 Jardin textile.mp3 (6.86 Mo)
En 2012, suite à un travail de réflexion sur l’eau avec le Centre Pédagogique d’Initiation à l’Environnement de Gorré Menez, et un souhait des membres du groupe d’ATD Quart Monde Brest de pratiquer les arts plastiques, Danièle Muguet, diplômée en arts plastiques a accompagné le groupe lors de journées près de la nature.
Le groupe d’ATD Quart Monde Brest, composé d’adultes et d’enfants, s’est familiarisé avec le collage et la peinture
!
Il a présenté ses réalisations lors d’une exposition « L’eau et la sève » à la mairie de l’Europe à Brest en Juillet 2013 et s’est exprimé ainsi devant des experts et des élus :
!
Il a présenté ses réalisations lors d’une exposition « L’eau et la sève » à la mairie de l’Europe à Brest en Juillet 2013 et s’est exprimé ainsi devant des experts et des élus :
!
« Les ateliers de peinture, c’était super. » « Ça m’a fait du bien, ça a été une respiration. Ça demande un effort d’imagination et avec tout ce travail autour des arbres, maintenant, je les regarde encore plus. »
« Je me suis amusée à découvrir l’utilisation des différents outils pour peindre, j’ai pu faire des variations de couleurs dans le ciel.
!
En 2015, les artistes ont reconnu le bienfait de ces temps éloignés des soucis quotidiens, de cette expression spontanée et créatrice et ils ont sollicité de nouveaux ateliers.
Danièle Muguet est de nouveau contactée. D’origine lyonnaise, elle nous transmet son histoire familiale et son amour pour le tissu.
Nous découvrons les impressions de tissu. Nous constatons que la nature est bien souvent la source d’inspiration pour la création des dessins imprimés. Et nous partons pour une nouvelle aventure en art plastique qui associe la nature et le tissu.
Comme ce fut pour la première expérience, l’atelier sur une
journée est choisi avec un rythme de deux fois par trimestre
L’intérêt de l’atelier sur une
journée : c’est prendre le
temps d’une mise en route,
de décharger ses soucis, de
parler des propositions pour
la journée, de regarder des livres ou des photos apportées,
d’écouter la nature quand nous pouvions aller à Gorré menez,
de s’’installer…
LE JARDIN DE LA LIBERTE
par Geneviève
Nous autres, sommes tous des jardiniers de la liberté ! Nos pensées les plus belles sont des myriades de fleurs multicolores, l’essentiel, c’est que dans ce jardin imaginaire, ne poussent pas les graines de la discorde !
Pour un monde plus beau, plus serein, il faut se battre inlassablement au quotidien et tenter de peaufiner nos vies. Courtes ou longues, nos existences sont des chemins parsemés d’embûches ; la solidarité nous aide à devenir meilleurs, chaque jour que Dieu fait. Nous empruntons la terre à nos enfants, comme l’a écrit Antoine de Saint Exupéry or celle-ci souffre de la pollution et ses habitants endurent des kyrielles de fléaux dont la solitude, la jalousie, l’indifférence et la liste est longue…
Nous ne sommes pas loin s’en faut, des bisounours mais avec de la bonne volonté, nous pouvons tout de même déplacer des montagnes et réchauffer les cœurs gelés voire glacés.
Après les fleurs dans un verger, les arbres ne donnent ils pas des fruits ! Croquants et juteux ! Ensemble, tous unis, nous pouvons comme la nature, faire un petit miracle de partage et d’amour ; comme le répète dans une chanson archi connue, le non moins célèbre Jacques Brel : « Quand on n’a que l’amour pour combattre un tambour, nous aurons dans nos mains, ma mie, le monde entier !...
A privilégier l’être plutôt que le paraître, nous avons tous à y gagner ; il faut laisser s’épanouir en nous et pour les autres, un p’tit coin de paradis !
Le jardin de la liberté est le plus fragile et le plus précieux aussi des endroits et il est hélas, souvent piétiné mais jamais anéanti. Lieu où fleurissent les sentiments les plus nobles, c’est un très bel endroit, à préserver à tout prix, en effet sans liberté de penser et d’agir, l’humain n’est qu’un fétu de paille balayé par les vents mauvais de sa vie. Liberté chérie, comme il est difficile d’écrire ton nom mais d’aucuns savent pertinemment, qu’ici-bas, rien n’est aisé. Mais quoiqu’il en coûte, le jardin de la liberté dont les enfants sont les plus beaux maillons et les acteurs de demain, mérite amplement que l’on se batte pour lui, que l’on soit roi ou gueux et principalement si on est membre ou sympathisant d’ATD Quart Monde, qui a depuis longtemps comme but suprême d’éradiquer la misère et les injustices criantes qui règnent encore trop souvent dans notre société.
Vive la journée du refus de la misère et les hommes de bonne volonté qui se battent sans relâche, pour conjurer le mauvais sort et font que le jardin de la liberté ne soit pas qu’une chimère.
Pour un monde plus beau, plus serein, il faut se battre inlassablement au quotidien et tenter de peaufiner nos vies. Courtes ou longues, nos existences sont des chemins parsemés d’embûches ; la solidarité nous aide à devenir meilleurs, chaque jour que Dieu fait. Nous empruntons la terre à nos enfants, comme l’a écrit Antoine de Saint Exupéry or celle-ci souffre de la pollution et ses habitants endurent des kyrielles de fléaux dont la solitude, la jalousie, l’indifférence et la liste est longue…
Nous ne sommes pas loin s’en faut, des bisounours mais avec de la bonne volonté, nous pouvons tout de même déplacer des montagnes et réchauffer les cœurs gelés voire glacés.
Après les fleurs dans un verger, les arbres ne donnent ils pas des fruits ! Croquants et juteux ! Ensemble, tous unis, nous pouvons comme la nature, faire un petit miracle de partage et d’amour ; comme le répète dans une chanson archi connue, le non moins célèbre Jacques Brel : « Quand on n’a que l’amour pour combattre un tambour, nous aurons dans nos mains, ma mie, le monde entier !...
A privilégier l’être plutôt que le paraître, nous avons tous à y gagner ; il faut laisser s’épanouir en nous et pour les autres, un p’tit coin de paradis !
Le jardin de la liberté est le plus fragile et le plus précieux aussi des endroits et il est hélas, souvent piétiné mais jamais anéanti. Lieu où fleurissent les sentiments les plus nobles, c’est un très bel endroit, à préserver à tout prix, en effet sans liberté de penser et d’agir, l’humain n’est qu’un fétu de paille balayé par les vents mauvais de sa vie. Liberté chérie, comme il est difficile d’écrire ton nom mais d’aucuns savent pertinemment, qu’ici-bas, rien n’est aisé. Mais quoiqu’il en coûte, le jardin de la liberté dont les enfants sont les plus beaux maillons et les acteurs de demain, mérite amplement que l’on se batte pour lui, que l’on soit roi ou gueux et principalement si on est membre ou sympathisant d’ATD Quart Monde, qui a depuis longtemps comme but suprême d’éradiquer la misère et les injustices criantes qui règnent encore trop souvent dans notre société.
Vive la journée du refus de la misère et les hommes de bonne volonté qui se battent sans relâche, pour conjurer le mauvais sort et font que le jardin de la liberté ne soit pas qu’une chimère.