Voilà donc 2012. Et la course présidentielle, enfin ! Mais franchement, faut-il beaucoup miser sur un cheval ? Le 1er janvier 1990, après 40 ans de communisme, Václav Havel, prononçait ses premiers vœux de président tchécoslovaque. Extraits :
« Nous sommes malades moralement parce que nous sommes habitués à dire blanc et à penser noir. Nous avons appris à ne rien croire, à ne pas prêter attention l’un à l’autre, à ne nous occuper que de nous-mêmes (...) Le meilleur gouvernement, le meilleur parlement et le meilleur président ne peuvent pas, à eux seuls, faire grand-chose. Et ce serait très injuste d’attendre la solution d’eux seulement. La liberté et la démocratie, cela signifie la participation et la responsabilité de tous. »
Merci pour tout Václav et Bonne Année à tous.
Michel Rouger
« Nous sommes malades moralement parce que nous sommes habitués à dire blanc et à penser noir. Nous avons appris à ne rien croire, à ne pas prêter attention l’un à l’autre, à ne nous occuper que de nous-mêmes (...) Le meilleur gouvernement, le meilleur parlement et le meilleur président ne peuvent pas, à eux seuls, faire grand-chose. Et ce serait très injuste d’attendre la solution d’eux seulement. La liberté et la démocratie, cela signifie la participation et la responsabilité de tous. »
Merci pour tout Václav et Bonne Année à tous.
Michel Rouger