Face aux conditions de travail moyen-âgeuses imposées par les plateformes de coursiers à vélo, des jeunes, parmi ces dernier, s’organisent, raconte le webmagazine de l’économie solidaire Say Yess. Des coopératives embauchent les cyclistes avec les garanties qu’apporte le statut de salarié. Il y a par exemple les Coursiers bordelais et les Coursiers nantais, ou encore AppliColis et Coopcycle à Toulouse et Paris. Une fédérations de ces coopératives est en gestation. Leur réussite serait une réponse forte à l’ "upérisation » qui s’engouffre dans le manque d’emplois.