La musique au cœur de la révolution égyptienne (webdocumentaire)
FRANCE 24 propose, dans ce webdocumentaire, « un voyage dans la musique engagée : de la place Tahrir, où s’est épanoui le chant révolutionnaire, à l’ancien siège du parti de Moubarak, où, il y a encore un an, se décidait les chanteurs “valables” ou non. Nous ferons étape à l’université du Caire, où s’est écrit un chapitre de l’histoire de la musique politique, celle du poète Ahmad Fouad Negm et de Cheikh Imam. Nous irons au centre culturel Al-Sawy, là où se joue la musique alternative depuis 2003, rendrons visite aux membres de la société de production islamique Wellsbox et assisterons à un mariage dans la banlieue populaire du Caire, le quartier Al Salam, où les DJ électro chaabi sont rois. »
FRANCE 24 propose, dans ce webdocumentaire, « un voyage dans la musique engagée : de la place Tahrir, où s’est épanoui le chant révolutionnaire, à l’ancien siège du parti de Moubarak, où, il y a encore un an, se décidait les chanteurs “valables” ou non. Nous ferons étape à l’université du Caire, où s’est écrit un chapitre de l’histoire de la musique politique, celle du poète Ahmad Fouad Negm et de Cheikh Imam. Nous irons au centre culturel Al-Sawy, là où se joue la musique alternative depuis 2003, rendrons visite aux membres de la société de production islamique Wellsbox et assisterons à un mariage dans la banlieue populaire du Caire, le quartier Al Salam, où les DJ électro chaabi sont rois. »
Les films-tracts des résistants syriens
Arte s'attarde sur le travail que poursuit le collectif syrien Abou Naddara, "l'homme à la lunette" en français. Sur le web, le collectif présente des films courts, « véritables petits objets de résistance intellectuelle » comme dit la chaîne, tournés en Syrie par des réalisateurs anonymes. Aux vidéos sanglantes, le collectif préfère des « images souvent métaphoriques, permettant une prise de distance avec l'horreur de la répression. »
Arte s'attarde sur le travail que poursuit le collectif syrien Abou Naddara, "l'homme à la lunette" en français. Sur le web, le collectif présente des films courts, « véritables petits objets de résistance intellectuelle » comme dit la chaîne, tournés en Syrie par des réalisateurs anonymes. Aux vidéos sanglantes, le collectif préfère des « images souvent métaphoriques, permettant une prise de distance avec l'horreur de la répression. »