Le 30 mai 2012, nous parlions ici de Bassel Shehadeh, l'espoir du cinéma syrien tué deux jours plus tôt à Homs, caméra à la main, par un tir de roquette. Sous le titre I will cross tomorrow, à partir d'images réalisées par Bassel lui-même, un hommage lui a été rendu par le collectif de cinéastes engagés Abounaddara que l'on peut découvrir aujourd'hui dans un entretien très riche réalisé par Cécile Boëx pour La Vie des idées.
Depuis avril 2011, le collectif de cinéastes est engagé aux côtés du peuple syrien en lutte pour sa liberté. Dans cet entretien, se situant à l'ombre de la grande figure du cinéma engagé syrien Omar Amiralay dont on peut redécouvrir les chefs d'œuvre, les cinéastes d'Abounaddara décrivent le "cinéma d'urgence" qu'ils sont amenés à pratiquer dans leur pays.
L'entretien est ponctué de nombreux liens. On peut redécouvrir les chefs d'œuvre d'Omar Amiralay et de nombreux courts-métrages du collectif dont ceux-ci.
Depuis avril 2011, le collectif de cinéastes est engagé aux côtés du peuple syrien en lutte pour sa liberté. Dans cet entretien, se situant à l'ombre de la grande figure du cinéma engagé syrien Omar Amiralay dont on peut redécouvrir les chefs d'œuvre, les cinéastes d'Abounaddara décrivent le "cinéma d'urgence" qu'ils sont amenés à pratiquer dans leur pays.
L'entretien est ponctué de nombreux liens. On peut redécouvrir les chefs d'œuvre d'Omar Amiralay et de nombreux courts-métrages du collectif dont ceux-ci.