Le manifeste lancé par les scop et les scic égrennent les propositions qui sont déjà au coeur de leurs organisations :
« Dans le monde d’après, la performance d’une entreprise ne sera pas de maximiser une valeur boursière mais de pérenniser des emplois.
Dans le monde d’après, une entreprise n’appartiendra plus à quelques actionnaires mais majoritairement à ses salariés.
Dans le monde d’après, les salariés ne seront pas seulement informés mais participeront à la stratégie de l’entreprise.
Dans le monde d’après, la réussite ne sera pas individuelle mais elle sera collective.
Dans le monde d’après, les bénéfices ne seront pas au profit d’une minorité mais partagés équitablement avec tous les salariés.
Dans le monde d’après, l’innovation ne sera pas pensée au détriment des emplois, mais comme réponse aux défis sociétaux et environnementaux.
Dans le monde d’après, les entrepreneurs individuels ne seront pas seuls mais seront protégés et intégrés au sein d’un collectif.
Dans le monde d’après, l’argent ne sera pas une finalité en soi, mais un moyen au service de l’humain. »
« Dans le monde d’après, la performance d’une entreprise ne sera pas de maximiser une valeur boursière mais de pérenniser des emplois.
Dans le monde d’après, une entreprise n’appartiendra plus à quelques actionnaires mais majoritairement à ses salariés.
Dans le monde d’après, les salariés ne seront pas seulement informés mais participeront à la stratégie de l’entreprise.
Dans le monde d’après, la réussite ne sera pas individuelle mais elle sera collective.
Dans le monde d’après, les bénéfices ne seront pas au profit d’une minorité mais partagés équitablement avec tous les salariés.
Dans le monde d’après, l’innovation ne sera pas pensée au détriment des emplois, mais comme réponse aux défis sociétaux et environnementaux.
Dans le monde d’après, les entrepreneurs individuels ne seront pas seuls mais seront protégés et intégrés au sein d’un collectif.
Dans le monde d’après, l’argent ne sera pas une finalité en soi, mais un moyen au service de l’humain. »
Au coeur de l'économie sociale et solidaire
Depuis son origine, le réseau des scop accompagne la création, la reprise et la transformation d’entreprises sous forme Scop (Société coopérative de production) ou Scic (Société coopérative d’intérêt collectif). Il propose un service complet aux entrepreneurs : accueil, accompagnement dans la durée, financements, formations, échanges entre entrepreneurs, représentation auprès des Pouvoirs publics. Animé par la Confédération générale des Scop au plan national, le réseau des Scop est présent sur tout le territoire avec douze Unions régionales et trois Fédérations de métiers : BTP, communication, industrie. « Cela vous paraît peut-être utopique ? Irréaliste ? Lointain ? En réalité, pour nous, le monde d’après est déjà là. Depuis toujours, les Scop et les Scic innovent et agissent selon ces principes. Et si le monde d'après existait déjà dans le monde d'aujourd'hui ? »