Terme inventé par Vinoba Bhave, Jai Jagat signifie « Victoire d’un monde inclusif et pacifique », un monde où personne n’est laissé pour compte. Ce disciple de Gandhi était convaincu qu’une plus grande inclusion sociale, politique, économique et écologique conduirait invariablement à la paix.
Jai Jagat est repris par le mouvement populaire indien Ekta Parishad (Forum de l’unité) qui rassemble les plus pauvres et les plus marginalisés pour contester les relations de pouvoir existantes et, par une action non violente, inciter les gouvernements à modifier leurs politiques. Cela fait déjà trois ans que le mouvement est mobilisé sur la campagne Jai Jagat, rejoint en cela par de nombreux groupes et mouvements à travers le monde.
A l'initiative de Rajagopal PV, fondateur du mouvement, une longue marche va démarrer le 2 octobre prochain, jour du 150e anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi. Elle partira de Rajghat à New Delhi (Inde), lieu de repos de Mahatma Gandhi, pour arriver à Genève, le 25 septembre 2020, à l’occasion de la Journée internationale de la paix.
La Caravane de la paix couvrira une distance de plus de 10 000 km et traversera 17 pays. Ce ne sera pas le chemin le plus court : chaque pays choisi l'est en fonction des réseaux locaux. La Marche sera assurée par un noyau de 150 personnes à laquelle s'ajouteront les participants des pays traversés. Ils se retrouveront à Genève pour un Forum d’action populaire.
Des milliers de manifestants, qui œuvrent pour le changement non violent dans le monde entier, d'Inde, de Belgique, de France, d'Allemagne, de Suède, du Mali, du Sénégal, d'Espagne... viendront les rejoindre. Pendant huit jours, ils échangeront leurs vues sur des conflits et des problèmes auxquels les populations locales sont confrontées partout. Ils proposeront alors des voies ouvrant à plus d'équité.
Avec la campagne Jai Jagat, les oubliés de la hiérarchie socio-économique trouvent un lieu de parole. A Genève et au cours des marches qui y mèneront, les outils de l'action non-violente seront les arts, la musique, l'écriture, les réseaux sociaux, les médias, l'éducation... Ce « Parlement du peuple », conçu comme une « agora », doit leur permettre d'exprimer leurs préoccupations et présenter leurs orientations aux institutions.
Pour en savoir plus :
Le site de SOL ( Alternatives agroécologiques et solidaires )
Jai Jagat est repris par le mouvement populaire indien Ekta Parishad (Forum de l’unité) qui rassemble les plus pauvres et les plus marginalisés pour contester les relations de pouvoir existantes et, par une action non violente, inciter les gouvernements à modifier leurs politiques. Cela fait déjà trois ans que le mouvement est mobilisé sur la campagne Jai Jagat, rejoint en cela par de nombreux groupes et mouvements à travers le monde.
A l'initiative de Rajagopal PV, fondateur du mouvement, une longue marche va démarrer le 2 octobre prochain, jour du 150e anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi. Elle partira de Rajghat à New Delhi (Inde), lieu de repos de Mahatma Gandhi, pour arriver à Genève, le 25 septembre 2020, à l’occasion de la Journée internationale de la paix.
La Caravane de la paix couvrira une distance de plus de 10 000 km et traversera 17 pays. Ce ne sera pas le chemin le plus court : chaque pays choisi l'est en fonction des réseaux locaux. La Marche sera assurée par un noyau de 150 personnes à laquelle s'ajouteront les participants des pays traversés. Ils se retrouveront à Genève pour un Forum d’action populaire.
Des milliers de manifestants, qui œuvrent pour le changement non violent dans le monde entier, d'Inde, de Belgique, de France, d'Allemagne, de Suède, du Mali, du Sénégal, d'Espagne... viendront les rejoindre. Pendant huit jours, ils échangeront leurs vues sur des conflits et des problèmes auxquels les populations locales sont confrontées partout. Ils proposeront alors des voies ouvrant à plus d'équité.
Avec la campagne Jai Jagat, les oubliés de la hiérarchie socio-économique trouvent un lieu de parole. A Genève et au cours des marches qui y mèneront, les outils de l'action non-violente seront les arts, la musique, l'écriture, les réseaux sociaux, les médias, l'éducation... Ce « Parlement du peuple », conçu comme une « agora », doit leur permettre d'exprimer leurs préoccupations et présenter leurs orientations aux institutions.
Pour en savoir plus :
Le site de SOL ( Alternatives agroécologiques et solidaires )