Ce concours est ouvert aux jeunes, filles ou garçons, de 10 à 25 ans. Vidéo lauréate dans la catégorie "Vidéo autonome" au niveau national, la vidéo reprend avec humour la dictature de l'épilation subie par les femmes et du tabou construit autour des poils.
Maintenant à poil (10'59) de Marine Claverie et Margaux Chataux, âgées respectivement de 18 ans et de 17 ans à l'époque de la vidéo. Elles viennent de Auch, en Midi-Pyrénées (d'où leur accent chantant!). La vidéo a été développée grâce aux données du Planning familial de la ville.
Un concours à envergure nationale
Ce concours est l'initiative de la téléweb féministe "Télédebout". L'objectif est de réaliser une vidéo d'une durée de 2 à 10 minutes pour dénoncer le sexisme ordinaire, comme le stipule le règlement du concours : « L'important est d'avoir des idées, des choses à dire, à montrer et une grande envie que le monde bouge vers plus d'égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes. »
L'édition 2013 est ouverte
Les inscriptions sont ouvertes du 1er septembre au 30 décembre 2013, pour une remise des prix en mai-juin 2014.
D'envergure nationale, l'événement est soutenu notamment par le ministère des Droits des femmes, le ministère de la Culture et de la communication, le rectorat de Toulouse, le conseil régional Midi-Pyrénées, la mairie de Toulouse et d'autres partenaires non institutionnels comme les magazines l'Étudiant, Causette, etc.
Plus d'infos sur le site de Télédebout.
Ce concours est l'initiative de la téléweb féministe "Télédebout". L'objectif est de réaliser une vidéo d'une durée de 2 à 10 minutes pour dénoncer le sexisme ordinaire, comme le stipule le règlement du concours : « L'important est d'avoir des idées, des choses à dire, à montrer et une grande envie que le monde bouge vers plus d'égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes. »
L'édition 2013 est ouverte
Les inscriptions sont ouvertes du 1er septembre au 30 décembre 2013, pour une remise des prix en mai-juin 2014.
D'envergure nationale, l'événement est soutenu notamment par le ministère des Droits des femmes, le ministère de la Culture et de la communication, le rectorat de Toulouse, le conseil régional Midi-Pyrénées, la mairie de Toulouse et d'autres partenaires non institutionnels comme les magazines l'Étudiant, Causette, etc.
Plus d'infos sur le site de Télédebout.