D'abord, on te dit que tu es un génie,
et ainsi que ta vie est ici !
De la pommade dans le dos
pour que tu restes au boulot !
Puis quand tu te barres du navire,
on dit que tu es malade, qu'il faut te guérir.
Quand tu rentres plus dans les cases de cette vie,
on te mets sous perf, on te parque...comme un zombi !
A la fin du mois, t'as plus rien dans l'assiette,
alors aux abois, inévitablement tu t'endettes !
Affamé par les nuits sans sommeil,
t'es délavé de ces jours sans soleil.
et ainsi que ta vie est ici !
De la pommade dans le dos
pour que tu restes au boulot !
Puis quand tu te barres du navire,
on dit que tu es malade, qu'il faut te guérir.
Quand tu rentres plus dans les cases de cette vie,
on te mets sous perf, on te parque...comme un zombi !
A la fin du mois, t'as plus rien dans l'assiette,
alors aux abois, inévitablement tu t'endettes !
Affamé par les nuits sans sommeil,
t'es délavé de ces jours sans soleil.
Et ça, je ne peux plus le supporter,
alors je vais le colporter
de nuit en nuit,
Je vais le colporter
de jour en jour.
Je vais le colporter
partout, toujours !
On te dit, si t'as plus d'argent :
« "Roule à pied", quitte ton logement,
Pour voyager, achète un écran »
Et toi, t'as même pas 2 balles,
pour te passer la dalle !
Pour eux, t'es leur pantin esclave,
alors, t'en baves, t'en baves, t'en baves...
Voraces rapaces ou, vautours sans amour,
quand on n'a plus de pain,
ils nous disent de manger de la brioche !
Quand on a tous faim,
ils se barrent avec les valoches !
Je ne peux plus le supporter,
alors je vais le colporter
de maisons en maisons,
je vais le colporter
de toi en toi,
Je vais le colporter
de mois en mois !
En marge de cette meute sauvage,
de resto du cœur en resto du cœur,
heureusement, il reste encore des cœurs,
qu'ils n'arriveront jamais à mettre en cage !
Cependant, ils nous tiennent à peu près ce langage :
« t'as pas de sou, tu nous as pas cru !
Et pourtant, on t'avais prévenu,
et surtout, on t'a pas aidé !
Alors maintenant, tu peux crever »
Alors, leurs mensonges, tu finis par y croire !
tu te mets à boire, à te détruire, à te finir !
Mais aujourd'hui, t'as enfin compris cette supercherie.
En fait, ils se disent tes amis
mais, par leur argent, ils t'ont... asservi !
Alors il faut toujours travailler, de bonne heure
toujours manger, de bonne heure
toujours manquer, de bonheur !
Et ça je ne peux plus le supporter,
alors je vais le colporter
de rumeur en rumeur
je vais le colporter
de prêcheurs en prêcheurs,
Je vais le colporter
de lueurs en lueurs !
Ils croient que ça va le faire,
mais on va le leur faire à l'envers !
Car bientôt on échangera nos places
avec tous ces sales et dégueulasses,
et on verra bien qui fera la grimace !
« Pourquoi tant de bruits? »
« Eh mec là haut, t'as toujours rien compris,
j'ai faim de piment, et soif d'envie ! »
Ils n'ont pas compris que la vie
c'est comme un élastique, si tu le tends trop,
il pète et te revient en pleine tête !
A eux, alors l’hôpital psychiatrique,
un peu, comme dans orange mécanique,
ils ne rouleront plus jamais des mécaniques !
J'en ai chié là-bas
Ma tête entre leurs barreaux
mon corps shooté aux neuros.
D'abord, t'as peur
de ces marécages ou s’engloutit ton cœur !
Puis sans que tu ne puisse réagir,
tu vois ton corps et ton esprit s'endormir, s’anéantir
Je ne peux plus le supporter,
alors je vais le colporter
d'histoires en histoires,
je vais le colporter
d'espoirs en espoirs,
je vais le colporter
de victoires en victoires !
Je suis peut être un peu cinglé
j'ai peut être un pète au casque,
mais c'est toi qui tenait l'épée
alors tombe le masque !
Ton vol, ton viol, ta violence,
et ton disque sont rayés.
En fait tu es un pervers égocentrique,
il est donc d'intérêts publiques
de te virer, toi et ta république !
Alors, je vais le colporter de voisins en voisins,
de voisinages en voisinages,
de voisinades en voisinades !
Je vais le colporter de campagnes en campagnes,
de villes en villes,
de pays en pays !
Je vais le colporter de tribus en tribus,
de langues en langues,
de terres en terres.
Je vais le colporter
d'hommes en hommes
de femmes en femmes
jusqu'à ce que naisse la flamme
qui brûlera tous ces infâmes !
Pat
alors je vais le colporter
de nuit en nuit,
Je vais le colporter
de jour en jour.
Je vais le colporter
partout, toujours !
On te dit, si t'as plus d'argent :
« "Roule à pied", quitte ton logement,
Pour voyager, achète un écran »
Et toi, t'as même pas 2 balles,
pour te passer la dalle !
Pour eux, t'es leur pantin esclave,
alors, t'en baves, t'en baves, t'en baves...
Voraces rapaces ou, vautours sans amour,
quand on n'a plus de pain,
ils nous disent de manger de la brioche !
Quand on a tous faim,
ils se barrent avec les valoches !
Je ne peux plus le supporter,
alors je vais le colporter
de maisons en maisons,
je vais le colporter
de toi en toi,
Je vais le colporter
de mois en mois !
En marge de cette meute sauvage,
de resto du cœur en resto du cœur,
heureusement, il reste encore des cœurs,
qu'ils n'arriveront jamais à mettre en cage !
Cependant, ils nous tiennent à peu près ce langage :
« t'as pas de sou, tu nous as pas cru !
Et pourtant, on t'avais prévenu,
et surtout, on t'a pas aidé !
Alors maintenant, tu peux crever »
Alors, leurs mensonges, tu finis par y croire !
tu te mets à boire, à te détruire, à te finir !
Mais aujourd'hui, t'as enfin compris cette supercherie.
En fait, ils se disent tes amis
mais, par leur argent, ils t'ont... asservi !
Alors il faut toujours travailler, de bonne heure
toujours manger, de bonne heure
toujours manquer, de bonheur !
Et ça je ne peux plus le supporter,
alors je vais le colporter
de rumeur en rumeur
je vais le colporter
de prêcheurs en prêcheurs,
Je vais le colporter
de lueurs en lueurs !
Ils croient que ça va le faire,
mais on va le leur faire à l'envers !
Car bientôt on échangera nos places
avec tous ces sales et dégueulasses,
et on verra bien qui fera la grimace !
« Pourquoi tant de bruits? »
« Eh mec là haut, t'as toujours rien compris,
j'ai faim de piment, et soif d'envie ! »
Ils n'ont pas compris que la vie
c'est comme un élastique, si tu le tends trop,
il pète et te revient en pleine tête !
A eux, alors l’hôpital psychiatrique,
un peu, comme dans orange mécanique,
ils ne rouleront plus jamais des mécaniques !
J'en ai chié là-bas
Ma tête entre leurs barreaux
mon corps shooté aux neuros.
D'abord, t'as peur
de ces marécages ou s’engloutit ton cœur !
Puis sans que tu ne puisse réagir,
tu vois ton corps et ton esprit s'endormir, s’anéantir
Je ne peux plus le supporter,
alors je vais le colporter
d'histoires en histoires,
je vais le colporter
d'espoirs en espoirs,
je vais le colporter
de victoires en victoires !
Je suis peut être un peu cinglé
j'ai peut être un pète au casque,
mais c'est toi qui tenait l'épée
alors tombe le masque !
Ton vol, ton viol, ta violence,
et ton disque sont rayés.
En fait tu es un pervers égocentrique,
il est donc d'intérêts publiques
de te virer, toi et ta république !
Alors, je vais le colporter de voisins en voisins,
de voisinages en voisinages,
de voisinades en voisinades !
Je vais le colporter de campagnes en campagnes,
de villes en villes,
de pays en pays !
Je vais le colporter de tribus en tribus,
de langues en langues,
de terres en terres.
Je vais le colporter
d'hommes en hommes
de femmes en femmes
jusqu'à ce que naisse la flamme
qui brûlera tous ces infâmes !
Pat