Déjà 42 446 signatures ont été collectées par Amnesty International Irlande pour demander à l'Union Européenne de « mettre fin aux Mutilations Génitales Féminines ou MGF », d'adopter une « stratégie définitive pour en empêcher la pratique sur les femmes et les jeunes filles en Europe » et de protéger celles qui ont fui leur propre pays par peur.
Dans 28 pays Africains... et aussi en Europe
Dans les pays occidentaux qui accueillent des communautés originaires de ces pays, des fillettes en sont toujours victimes. Les familles font appel à une exciseuse expatriée ou envoient leur fille en vacances au pays pour la subir. Les mutilations sont pratiquées généralement entre 4 ans et 14 ans, mais elles peuvent être aussi réalisées à quelques mois de vie ou juste avant le mariage, selon les cultures.
La Parlement Européen estime à 500 000 le nombre de femmes et de filles vivant en Europe et souffrant des conséquences de la mutilation génitale : hémorragies risquant d'entraîner la mort, infections qui causent la stérilité, difficulté sérieuse au moment de l'accouchement, troubles de la sexualité, risque de transmission du VIH, troubles du comportement, dépression etc.
Plus de 28 pays africains continuent à exciser et à infibuler les jeunes filles. Les mutilations sexuelles sont majoritairement pratiquées en Afrique sub-saharienne et dans la péninsule arabique (Yémen, Emirats Arabes Unis, Oman). Dans une moindre mesure, des mutilations génitales sont également pratiquées par certains groupes au Proche-Orient (Irak, Israël), en Asie (Inde, Indonésie, Malaisie, Sri Lanka) et en Amérique latine (Colombie, Pérou).
Dans les pays occidentaux qui accueillent des communautés originaires de ces pays, des fillettes en sont toujours victimes. Les familles font appel à une exciseuse expatriée ou envoient leur fille en vacances au pays pour la subir. Les mutilations sont pratiquées généralement entre 4 ans et 14 ans, mais elles peuvent être aussi réalisées à quelques mois de vie ou juste avant le mariage, selon les cultures.
La Parlement Européen estime à 500 000 le nombre de femmes et de filles vivant en Europe et souffrant des conséquences de la mutilation génitale : hémorragies risquant d'entraîner la mort, infections qui causent la stérilité, difficulté sérieuse au moment de l'accouchement, troubles de la sexualité, risque de transmission du VIH, troubles du comportement, dépression etc.
Que faire?
Participer aux actions de sensibilisation en faisant circuler par exemple le film ci-dessus « Non à l'excision » avec Tiken Jah Fakoly réalisé par Jessy Nottola.
Le 6 février est déclaré « Journée Internationale pour l'abandon de l'excision ». Des manifestations auront lieu dans certaines villes comme à Montreuil (19H30 au Centre Pauline Kergomard), à Evry le 3, à Bobigny le 7...
Pour en savoir plus, Tostan France
Merci de signer un pétale de rose sur le site d'Amnesty International Irlande pour la campagne END FGM EUROPEAN CAMPAIGN
Participer aux actions de sensibilisation en faisant circuler par exemple le film ci-dessus « Non à l'excision » avec Tiken Jah Fakoly réalisé par Jessy Nottola.
Le 6 février est déclaré « Journée Internationale pour l'abandon de l'excision ». Des manifestations auront lieu dans certaines villes comme à Montreuil (19H30 au Centre Pauline Kergomard), à Evry le 3, à Bobigny le 7...
Pour en savoir plus, Tostan France
Merci de signer un pétale de rose sur le site d'Amnesty International Irlande pour la campagne END FGM EUROPEAN CAMPAIGN