Ce rapport propose des préconisations concrètes de réformes juridiques et institutionnelles pour permettre d’améliorer la protection et l’accompagnement de ces enfants et du parent victime.
Ce rapport s’adresse en priorité aux décideur-se-s politiques, ainsi qu’à tous les professionnel-le-s en contact potentiel avec les enfants victimes de violences conjugales (protection de l’enfance, éducation nationale etc.).
Pour lire le rapport, cliquer ici
Dès l'introduction, les deux italiennes Elena Favilli et Francesca Cavallo qui les ont écrites ces "Histoires du soir", vous mettent dans le bain :
" Aux filles rebelles du monde entier : Rêvez plus grand
Visez plus haut
Luttez plus fort
Et, dans le doute, rappelez-vous :
Vous avez raison. "
Et vous partez pour suivre 100 femmes aux vies extraordinaires, de Cléopâtre à Joan Jett en passant par Michelle Obama ou Coco Chanel. Pirates, scientifiques, espionnes, sportives, chanteuses, guerrières, reines, romancières, navigatrice, impératrice, pilote de motocross, haltérophile, poète, ou chirurgienne… elles brisent les stéréotypes et encouragent filles et garçons à suivre leurs rêves.
" Pour les curieux.se.s, novices, initié.e.s et pratiquant.e.s, en individuel ou en groupe, ce MOOC a pour ambition de répondre à chacun de vos contextes organisationnels" annonce le site où vous pouvez vous inscrire.
Pour cette formation-échange en ligne "Gouvernance Partagée - Posture, Outils et Pratiques pour réinventer notre faire ensemble", il vous faut compter au minimum une heure de travail par semaine, sur dix semaines du 30 mars au 25 juin.
Les intervenants
Ils apporteront leur regard sur certains grands aspects de la gouvernance partagée :
- Isabelle Desplats, Formatrice en qualité relationnelle et intelligence collective - Isabelle Desplats Formation
- Jean-Luc Christin, Facilitateur, Accompagnant et Superviseur - Alliance J
- Julien Berlusconi, Facilitateur du Facteur Humain - BIOM21
- Emmanuel Levard, Coach en développement relationnel et organisationnel - Ivolve
- Philippe Clément, Accompagnateur en démocratie coopérative - Stratégial
- Romain Vignes, Concepteur et animateur d’expériences apprenantes - Université du Nous
- Lydia Pizzoglio, Accompagnatrice à la Gouvernance Partagée - Université du Nous
- Laurent van Ditzhuyzen, Accompagnateur à la Gouvernance Partagée - Université du Nous
- Yannis Camus, Formateur / Consultant / Conférencier- Alter Ego
Et l' invité d'honneur
Frédéric Laloux, auteur de "Reinventing organizations", le livre phénomène - déjà plus de 100 000 exemplaires vendus dans le monde !
Les organisateurs
L’Université du Nous pour l'Université des Colibris. Colibris est une association fondée en 2007 par Pierre Rabhi, paysan et philosophe. L’association propose de participer à la création d'un projet de société écologique et solidaire, fondé sur la sobriété, l’autonomie et le partage. Colibris compte aujourd’hui plus de 150 collectifs locaux sur toute la France, 4 800 cotisants et près de 250 000 personnes qui se reconnaissent dans les valeurs de Colibris.
Dans le cadre de la campagne "le Chant des colibris", le mouvement Colibris lance plusieurs parcours pédagogiques pour aider les citoyens à s'approprier des propositions politiques qui sont discutées dans le cadre des élections. Colibris souhaite ainsi redonner à chacun son pouvoir de citoyen, en comprenant mieux les enjeux et des solutions potentielles. A découvrir dans le parcours découverte : la démocratie contributive.
Quant à l'Université du Nous, sa raison d'être est la suivante : « L’Université du Nous existe pour m’apprendre à coopérer et contribuer avec tous les acteurs volontaires à une transition sociétale.
Elle m’offre un espace d’expérimentation, de transmission et d’accompagnement favorisant l’élévation de ma conscience afin de construire, d’animer et d’accompagner des « Nous » actifs et engagés »
Cliquer ici : A découvrir sans modération...
Dans son livre "A poings nommés, la violence à bras le corps" ( Ramonville Saint-Agne, Erès Éd., coll. Hypothèses, 2003, 213 p. ), il explique comment à travers la pratique et l’analyse de combats de boxe, la personne peut explorer sa violence avec un partenaire en face de soi et un observateur. A l'issu du combat de boxe anglaise, aux coups atténués, les trois personnes se retrouvent pour analyser les émotions et le ressenti.
Ce travail concerne les "violents", les travailleurs sociaux qui sont confrontés à la violence et les victimes. Si la méthode ne vise pas à changer les comportements, elle est précieuse pour comprendre ce qui se passe et permet de trouver des repères. " Souvent, explique Richard Hellbrunn, il y a une grande souffrance derrière la violence, que la psychoboxe peut aider à comprendre." Elle permet « d’ouvrir un espace de pensée qui offre plus de choix aux décisions que peut prendre un sujet »
Il suit les aventures de Nuna, une enfant inupiate, peuple inuit de l'Alaska. Elle est partie de son village pour trouver du secours. Accompagnée par un renard blanc qui communique avec les esprits, elle doit vaincre les obstacles que réservent la banquise : débris de villages à traverser, courses-poursuites avec un ours, ou exploration des entrailles d'une créature marine fabuleuse. Never alone ou Kisima Inŋitchuŋa est une aventure que l'on peut jouer à deux en coopération.
Construit en partenariat avec la communauté autochtone de l'Alaska, sur l'initiative et les fonds du Cook Inlet Tribal Council, une association de promotion de la culture inuite, le jeu réalisé par le studio néerlandais Upper One Games s'inscrit dans ce qu'on appelle les world games, des jeux qui explorent les cultures du monde. Il est d'ailleurs doublé en inupiat (sous-titré en français) et propose des petites vidéos documentaires pour mieux connaître la culture inuite.
Initiatives et Changement France est une association laïque reconnue d'utilité publique ayant pour mission le développement de la citoyenneté active, en accompagnant enfants, jeunes et adultes à devenir partenaires de changement pour un meilleur vivre ensemble, notamment au travers de la formule inspirée de Ghandi : "Sois le changement que tu veux voir dans le monde" .
Avec la mise en place de l’Enseignement Morale et Civique et le Parcours Citoyen dans les écoles, l’Education Nationale a pour objectif de former les futurs citoyens et leur raison critique. Depuis plus de 10 ans, dans les écoles primaires et secondaires de tous horizons, l'association est intervenue avec pour objectif de mettre les enfants en situation d’exprimer leur ressenti, leurs idées sur les enjeux qui affectent leur vie et leur environnement, les décisions prises à leur encontre.
Depuis 5 ans, le forum international CATS (Children as Actors for Transforming Society) initié par Initiatives et Changement pour promouvoir la participation des enfants dans la société, s’est développé avec des partenaires européens et des enfants. Ce laboratoire d’expérience révèle qu’en agissant non pas pour les enfants mais avec eux, ceux-ci gagnent une estime d’eux-mêmes et que la relation à l’adulte en sort renforcée.
Le programme détaillé sera communiqué ultérieurement, mais vous pouvez d’ores et déjà réserver cette date et vous s’inscrire auprès du secrétariat de la coordination : secretariat@education-nvp.org.
Il fait suite à la 3ème étape des cinq ans d’aventure « je déclare la paix », dont le thème cette année était « Je suis valable, je suis aimable, je suis capable – Développons les trois piliers de l’estime de soi ».
Un livret pédagogique pour les parents et les enseignants
Le livret pédagogique est disponible avec son « coffre à trésors » et ses fiches spécifiques par niveau (maternelle, élémentaire, collège, lycée) et de fiches pédagogiques ciblées qui ont tout pour but de vous offrir des outils pour développer l’estime de soi de vos élèves, de vos enfants, de vos jeunes.
C’est là que Christian et Marie-France des Pallières, un couple de voyageurs français, les rencontrent, il y a plus de vingt ans. Ils décident alors de se battre sans limite pour sortir ces enfants de cet enfer.
A ce jour, avec l'association " Pour un sourire d'enfant", ils ont permis à près de 10.000 enfants d’accéder à l’éducation pour se construire un avenir.
Ce film est l’histoire d’une aventure humaine extraordinaire.
Christian des Pallières, appelé affectueusement « PAPY » par les enfants, s’est éteint samedi 24 septembre 2016, à l’âge de 82 ans.
Courgette n’a rien d’un légume, c’est un vaillant petit garçon. Il croit qu’il est seul au monde quand il perd sa mère. Mais c’est sans compter sur les rencontres qu’il va faire dans sa nouvelle vie au foyer pour enfants. Simon, Ahmed, Jujube, Alice et Béatrice : ils ont tous leurs histoires et elles sont aussi dures qu’ils sont tendres. Et puis il y a cette fille, Camille. Quand on a 10 ans, avoir une bande de copains, tomber amoureux, il y en a des choses à découvrir et à apprendre. Et pourquoi pas, même, à être heureux…
"L’enfance, c’est un territoire émotionnel hyper vaste, confie Céline Sciamma à Allociné, On peut vivre extrêmement violemment des petites choses. Une humiliation d’enfant, vous vous en souviendrez toute votre vie. On dit que c’est tabou, mais il y a peut-être un peu d’hypocrisie à penser que l’enfance est une espèce de territoire préservé. Et là, on parle d’enfants qui ne sont absolument pas protégés. Du coup, on a une responsabilité à raconter ces histoires et à s’adresser aux enfants en leur parlant d’eux."
Le film a été primé au Palmarès Annecy 2016.
L'organisation est basée sur le principe de la co-formation et de la participation de toutes et de tous. Les temps d'intervention en plénière alternent avec des ateliers de travail en groupe, la construction de séquences pédagogiques et des temps de forum ouvert qui permettent le partage et l'échange à partir de ce que chacune et chacun offre et attend.
« Cette semaine de stage m'a apporté tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel et familial, car ce que propose la Non-Violence est un chemin permanent de prise en compte de soi et des autres, d'écoute active, finalement une autre alternative pour être vrai et mieux gérer les Conflits. » témoigne une participante de l'an passé.
Si vous souhaitez vous inscrire, contactez pour les dernières places : par mail : secretariat@education-nvp.org et par téléphone : 01 46 33 41 56
Le site explique le but de cette campagne photo : « Nos voix ne sont jamais entendues sur ce campus, nos expériences sont dévaluées, notre présence est remise en question. Ce projet est notre seule façon de parler de nouveau, de réclamer ce campus, de se tenir debout pour dire : Nous sommes ici ».
Cette compagne répond à un article publié par un étudiant blanc dans le Harvard Crimson en novembre 2012 intitulé « l’insatisfaction positive ». Cet article a été le premier à lancer un débat sur le racisme à l'université d'Harvard.
Selon les chiffres de l'université, ils seraient 11% d'étudiants noirs à intégrer Harvard. « Parfois, dit l'un d'entre eux dans la vidéo, tu es le seul étudiant noir dans ta section. Et si en cours, on parle d'esclavage ou peu importe, tout le monde te regarde comme si tu allais parler au nom de ta race. Et c'est frustrant parce que tu espèrerais que les gens comprennent que tous les noirs n'ont pas les mêmes opinions sur les mêmes sujets. » « Certaines personnes nous disent parfois que l'on ne mérite pas d'être ici. Notre présence est dévalorisée. Donc c'est vraiment à nous de faire notre place. » explique un autre.
Les images et les paroles dont ils ont fait un pièce de théâtre frappent par leur simplicité mais quelle violence sous-jacente. Quelle dignité aussi dans ces regards francs et nobles, une ouverture à un dialogue sans violence.
« J’ai essayé de prendre les pierres et les cocktails Molotov lancés contre les bibliothèques comme étant des messages. Il n’y a pas que les livres pour abriter des productions de sens. […] Incendies et caillassages parlent autant de ceux qui lancent pierres et cocktails Molotov que des bibliothèques auxquelles ils s’adressent. » explique ce sociologue de formation qui dans le cadre de L'Atelier de recherche sur les classes populaires a passé 5 ans à écouter ceux et celles qui sont sur le terrain.
Pour le moment, seuls les britanniques peuvent assister au spectacle de la compositrice Helen Chadwick et du chorégraphe Steven Hoggett.
Dans la vidéo ci-contre, Helen Chadwick explique comment et pourquoi est né cette performance qui lie des extraits d'interviews d'expériences de journalistes, de la poésie liée à la guerre avec une chorégraphie et une composition musicale qui dépeignent les histoires extraordinaires et les expériences de vie des journalistes de guerre qui prennent des risques énormes dans des circonstances extrêmes.
Il aura fallu à Helen Chadwick et la designer Miriam Nabarro six ans pour créer War Correspondents. Elles ont interviewé des correspondants de guerre qui ont vécu la guerre en Irak, en Tchétchénie, en Géorgie, en Afghanistan, au Libéria et en Bosnie.
La première a eu lieu le 24 avril dernier à Birmingham.
Voir aussi un extrait du spectacle sur vimeo
Porteuse des valeurs de la pédagogie coopérative et de l’éducation à la paix, la rencontre s'est faite naturellement avec Anne Barth, réalisatrice qui a enseigné 30 ans à l’université au Québec et réalisé plusieurs courts-métrages,
Deux femmes passionnées d’éducation. L’une la met en pratique dans sa classe, l’autre souhaite la transmettre par l’image et la poésie. Elles décide de faire ce film témoin pour partager leurs valeurs, leur respect de l’enfance et leur conviction du rôle important de l’adulte dans l’éducation.
En immersion pendant un an, la réalisatrice franco-québécoise Anne Barth a su capter de façon sensible les interactions entre Isabelle, les enseignants-stagiaires et les enfants. Quels enfants laisserons-nous à la planète ? est un film didactique et une porte d’entrée dans un monde pédagogique éclairé et inspirant. Il nous renvoie à l’enjeu même de l’éducation, notre éducation et celle des générations futures… Une éducation centrée sur la nécessité d’apprendre à faire ensemble, sur le besoin d’éduquer pour élever les consciences.
Ce film est un outil de transmission vivant pour accompagner les professeurs, éducateurs, animateurs et parents dans l’éducation des enfants ! L’intention du film est simple : témoigner que vivre en paix, solidairement et en citoyen responsable nécessite un apprentissage.
La coopération est eu cœur de la culture de non-violence et de paix et de la formation et de l’éducation à la non-violence et à la paix à l’école et dans les différents lieux de vie en collectivité. A partir d’une réflexion collective sur la coopération et ses méthodes, la coordination propose de s'appuyer sur les expériences de chacun-e des participant-es pour construire ensemble, dans différents ateliers, des séquences pédagogiques sur ce thème.
Ainsi, ces Journées d’été seront l’occasion d’échanger sur des situations, des ressources, des techniques, des outils et des projets d’éducation à la non-violence et à la paix . Comme l'écrit une participante des journées 2013 : « Cette semaine de stage m'a apporté tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel et familial, car ce que propose la Non-Violence est un chemin permanent de prise en compte de soi et des autres, d'écoute active, finalement une autre alternative pour être vrai et mieux gérer les conflits. »
Pourquoi n'a-t-elle plus peur de la mort ? Elle vit au milieu de la guérilla des Farc qui occupent la zone où elle habite depuis vingt ans. Coincés entre les forces adverses et sommés de choisir, Maria avec d'autres a fondé la communauté de paix de San José de Apartado qui compte aujourd'hui presqu'un millier de personnes.
Après une jeunesse où elle découvre à l'université populaire Marx, Lénine, Engels… « sa vie est une suite de batailles qu'elle raconte au milieu de rires clairs comme l'enfance » comme l'écrit la journaliste de XXI. Poussée à l'exode, elle est avec les trois mille à camper à San José. Le 23 mars 1997, naît la communauté de paix qui s'organise pour reconquérir les terres et chasser la peur.
Il faut lire ce portrait de Maria, fervente admiratrice de Gandhi. Nous savons que nous ne gagnerons pas, que nous sommes trop petits, mais la résistance donne un sens à nos vies. « Nous respectons les principes auxquels nous croyons. C'est cela l'espoir. Nous sommes le petit caillou dans la chaussure. »
Le titre m'a intriguée. L'article, daté de mai dernier, relate le décès d'une petite fille de 2 ans, tuée accidentellement par le " My First Riffle " ( "Mon premier fusil" de la marque Crickett ) de son frère de 5 ans.
Un enfant de 5 ans, aux Etats-Unis, peut donc posséder une arme à sa taille, une arme capable de tuer ? Deux clics après la question, me voilà à naviguer sur internet pour vérifier l'information.
Heb papioù : pelec'h ? Sans papiers : où ? Aman ivez... Ici aussi… à Lannion où vivent les Fregjaj. C'est la mort certaine si la famille retourne en Albanie. Dans la région de Shkodër, d'où elle vient, règne la gjakmarrja, une véritable vendetta coutumière. Fadbarth Fregjaj, 26 ans, a rompu ses fiançailles avec une jeune Albanaise pour épouser Ditmira, ce qui l’expose à la vengeance de la famille de l’ex-fiancée.
Le père de Ditmira a déjà tué un membre de cette famille et selon la coutume, pour se venger, la partie adverse peut désormais même assassiner l’ensemble de la famille, femmes et enfants compris. Un récent reportage d’Arte met en évidence cette situation dramatique et l’impuissance des autorités albanaises. Le Conseil d’État a ainsi retiré l’Albanie de la liste des pays sûrs.
Ce sont pas moins de 200 personnes qui ont dansé la gavotte pour appeler à l'accueil et la solidarité au nom de la devise de notre pays " Liberté, Egalité, Fraternité ". A ce jour, la vidéo ci-dessous a été vue plus de 37 000 fois sur youtube.
De Granville, Yann Le Pennec, éducateur aujourd'hui à la retraite, vient de publier "L'éducation en mal d'autorité". L'idée est née au cours de la campagne électorale de 2007 : Nicolas Sarkozy y parlait du laxisme des éducateurs et du manque d'autorité des parents. Son sang n'a fait qu'un tour. Il s'explique.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.
Marie-Anne Divet