Même examen pour tout le monde au nom de l'égalité " Grimpez sur cet arbre ! " - The LOLBRARY
Et si, pour lutter contre la violence, il fallait d'abord offrir aux enfants du siècle la possibilité de développer la créativité inscrite dans chacun et chacune ? Faire péter les plombs des schémas préétablis que les éducateurs s'escriment à faire entrer dans les têtes. Vocabulaire de guerre pour ce qui est d'une violence extrême : obliger les petits humains à entrer dans un moule alors que leur tête est bouillonnante d'idées, que leurs motivations sont porteuses d'énergie et que leur regard tourne à 380 degrés autour du savoir.
Je vous invite à découvrir par vous-même cette vidéo et à penser par vous-même une autre alternative à la violence de l'école.
Je vous invite à découvrir par vous-même cette vidéo et à penser par vous-même une autre alternative à la violence de l'école.
Quand va-t-on quitter le XIXème siècle ?
Alors ? Avez-vous trouvé pour les trombones ? Non ? Aurait-on cassé votre créativité sur les bancs de l'école ? Est-ce une raison pour en faire autant avec les enfants d'aujourd'hui ? Pas convaincu(e) ? Je répète ce que dit la vidéo à propos des tests faits sur 1500 enfants : 98% des enfants en maternelle sont des "génies" du trombone. A 8-10 ans, ils ne sont plus que 30% et cette proportion chute à 12% chez les 13-15 ans…
Selon Sir Ken Robinson, penseur britannique, rousseauiste et auteur de ce que vous venez de voir, l’éducation scolaire tue progressivement chez l’enfant ce qu’il nomme la "pensée divergente", c’est-à-dire la capacité à examiner le trombone - mais aussi toutes sortes de questions - sous plusieurs angles possibles, même les plus inattendus.
Exit l'école du XIX ème, avec ses apprentissages à répétition pour fournir des bras à l'industrie et des cerveaux aux schémas préétablis. Prenons le temps de lire " Ces écoles qui rendent nos enfants heureux " d'Antonella Verdiani, docteure en sciences de l'éducation : un parcours dans les écoles dites " nouvelles " ou " alternatives " lesquelles, d'ailleurs ne sont pas si nouvelles que cela.
Alors ? Avez-vous trouvé pour les trombones ? Non ? Aurait-on cassé votre créativité sur les bancs de l'école ? Est-ce une raison pour en faire autant avec les enfants d'aujourd'hui ? Pas convaincu(e) ? Je répète ce que dit la vidéo à propos des tests faits sur 1500 enfants : 98% des enfants en maternelle sont des "génies" du trombone. A 8-10 ans, ils ne sont plus que 30% et cette proportion chute à 12% chez les 13-15 ans…
Selon Sir Ken Robinson, penseur britannique, rousseauiste et auteur de ce que vous venez de voir, l’éducation scolaire tue progressivement chez l’enfant ce qu’il nomme la "pensée divergente", c’est-à-dire la capacité à examiner le trombone - mais aussi toutes sortes de questions - sous plusieurs angles possibles, même les plus inattendus.
Exit l'école du XIX ème, avec ses apprentissages à répétition pour fournir des bras à l'industrie et des cerveaux aux schémas préétablis. Prenons le temps de lire " Ces écoles qui rendent nos enfants heureux " d'Antonella Verdiani, docteure en sciences de l'éducation : un parcours dans les écoles dites " nouvelles " ou " alternatives " lesquelles, d'ailleurs ne sont pas si nouvelles que cela.
Nouveaux, Freinet, Montessori, Decroly ?
Des écoles qui ont du " sens " et qui, depuis presqu'un siècle pour certaines, accueillent des personnes avant d'accueillir des élèves. Des enfants avec une personnalité, des goûts, des envies, des idées plein la tête, bref de la créativité à exploiter et à développer.
En face, une institution, l'école, qui mouline le savoir comme au temps de Jules Ferry. Avouons-nous le : nous sommes beaucoup à être critiques par rapport à notre vécu scolaire. Nous sommes beuacoup à dire que nous avons plus appris en dehors de l'école que dedans : appris à regarder autrement, à réagir en fonction du contexte, à adapter nos idées, à nous questionner... Pourquoi ne pas offrir ces possibilités aux élèves du XXIème siècle ?
Plutôt qu'un énième cours qui s'ajoute au programme déjà chargé, même si ceux-ci ont pour contenu la non-violence ou les stratégies de résolution de conflits, pourquoi pas une pédagogie non-violente qui partirait des potentialités de chacun et chacune et serait basée sur la construction collective des savoirs, au service du bien commun ?
Des écoles qui ont du " sens " et qui, depuis presqu'un siècle pour certaines, accueillent des personnes avant d'accueillir des élèves. Des enfants avec une personnalité, des goûts, des envies, des idées plein la tête, bref de la créativité à exploiter et à développer.
En face, une institution, l'école, qui mouline le savoir comme au temps de Jules Ferry. Avouons-nous le : nous sommes beaucoup à être critiques par rapport à notre vécu scolaire. Nous sommes beuacoup à dire que nous avons plus appris en dehors de l'école que dedans : appris à regarder autrement, à réagir en fonction du contexte, à adapter nos idées, à nous questionner... Pourquoi ne pas offrir ces possibilités aux élèves du XXIème siècle ?
Plutôt qu'un énième cours qui s'ajoute au programme déjà chargé, même si ceux-ci ont pour contenu la non-violence ou les stratégies de résolution de conflits, pourquoi pas une pédagogie non-violente qui partirait des potentialités de chacun et chacune et serait basée sur la construction collective des savoirs, au service du bien commun ?