2018 04 12 Je suis jeune je vis à Gaza je rêve....mp3 (3.05 Mo)
Au Département de français de l’Université Al-Aqsa de Gaza, qu’il dirige, Ziad Medoukh a demandé à plusieurs étudiants à quoi ils rêvaient. Une quinzaine d’entre eux, filles et garçons, se sont exprimés. Voici quelques extraits tirés du site 4ACG
Moi, dit Nour Musabeh, 20 ans, « comme toutes les filles du monde, j’ai le droit de rêver, et mon rêve est que tous les jeunes, ici, puissent vivre sans peur, sans guerre, sans bombardements. Je rêve d’écrire un livre en français qui parlerait de Gaza, et de créer une petite association pour aider les enfants de Gaza ».
« Je suis Samher Arouki, une fille qui mérite de vivre en paix, en sécurité et en liberté. Cette fille ne veut pas une vie idéale, mais est-ce qu’elle ne mérite pas de dessiner un vrai sourire sur son doux visage ? J’ai de simples rêves, avec des difficultés incroyables. Je rêve de travailler dans une organisation pour soutenir les Palestiniens et leurs droits perdus, et utiliser la langue française pour témoigner de la voix silencieuse des Palestiniens. Les Palestiniens de Gaza rêvent et rêvent encore… Est-ce que ces rêves sont dangereux pour la sécurité de ce monde ? Alors laissez-nous au moins le droit de rêver ! ».
Ziad Medoukh est aussi Coordinateur du Centre de la paix. Il a été choisi comme le lauréat du Prix International de la Fondation indienne Jamnalal Bajaj pour l’année 2017 dans la catégorie de la promotion des valeurs gandhiennes en dehors de l’Inde. Pour ses actions et activités pour les enfants et les jeunes de Gaza, il devait recevoir en personne son prix en Inde fin octobre 2017, lors d’une cérémonie officielle organisée à Bombay. Il n'a pas pu sortir de Gaza, à cause du blocus israélien et de la fermeture des frontières.
Moi, dit Nour Musabeh, 20 ans, « comme toutes les filles du monde, j’ai le droit de rêver, et mon rêve est que tous les jeunes, ici, puissent vivre sans peur, sans guerre, sans bombardements. Je rêve d’écrire un livre en français qui parlerait de Gaza, et de créer une petite association pour aider les enfants de Gaza ».
« Je suis Samher Arouki, une fille qui mérite de vivre en paix, en sécurité et en liberté. Cette fille ne veut pas une vie idéale, mais est-ce qu’elle ne mérite pas de dessiner un vrai sourire sur son doux visage ? J’ai de simples rêves, avec des difficultés incroyables. Je rêve de travailler dans une organisation pour soutenir les Palestiniens et leurs droits perdus, et utiliser la langue française pour témoigner de la voix silencieuse des Palestiniens. Les Palestiniens de Gaza rêvent et rêvent encore… Est-ce que ces rêves sont dangereux pour la sécurité de ce monde ? Alors laissez-nous au moins le droit de rêver ! ».
Ziad Medoukh est aussi Coordinateur du Centre de la paix. Il a été choisi comme le lauréat du Prix International de la Fondation indienne Jamnalal Bajaj pour l’année 2017 dans la catégorie de la promotion des valeurs gandhiennes en dehors de l’Inde. Pour ses actions et activités pour les enfants et les jeunes de Gaza, il devait recevoir en personne son prix en Inde fin octobre 2017, lors d’une cérémonie officielle organisée à Bombay. Il n'a pas pu sortir de Gaza, à cause du blocus israélien et de la fermeture des frontières.