Petite Poucette, c'est ainsi que le philosophe Michel Serres appelle la jeune génération d'aujourd'hui. Cet ouvrage, court, met en avant des aspects primordiaux de la société dans laquelle nous vivons. Petite poucette, qui a entre 13 et 30 ans, a un rapport familier et intuitif avec le numérique et écrit de ses pouces des textos à toute vitesse. « Maintenant, tenant en main le monde, avec son portable, elle tient trois accès universels : le réseau de ses amis, tous les lieux et toutes les informations », dit Michel Serres.
Lire Petite Poucette, c'est faire reculer la peur, génératrice de violence et d'angoisse et se faire confiance dans cette révolution que nous vivons, décisive et accompagnée de mutations politiques, sociales et cognitives. « Je voudrais avoir 18 ans, l’âge de Petite Poucette et de Petit Poucet, puisque tout est à refaire, non, puisque tout est à faire », conclut Michel Serres.
Changer le regard
Dans la vidéo ci-dessous, Michel Serres explique sa démarche et commente le contenu du livre. Une heure d'écoute qui peut changer nos visions et nos angles de vues. « A ces faux dieux mangeurs de victimes infinies, je préfère notre virtuel permanent, qui comme l'Europe, ne demande la mort de personne. Nous ne voulons plus coaguler nos assemblées avec du sang. Le virtuel, au moins, évite ce charnel-là. Ne plus construire un collectif sur le massacre et le sien propre. Voilà notre avenir de vie face à votre histoire et vos politiques de mort. » écrit le philosophe.
Lire Petite Poucette, c'est faire reculer la peur, génératrice de violence et d'angoisse et se faire confiance dans cette révolution que nous vivons, décisive et accompagnée de mutations politiques, sociales et cognitives. « Je voudrais avoir 18 ans, l’âge de Petite Poucette et de Petit Poucet, puisque tout est à refaire, non, puisque tout est à faire », conclut Michel Serres.
Changer le regard
Dans la vidéo ci-dessous, Michel Serres explique sa démarche et commente le contenu du livre. Une heure d'écoute qui peut changer nos visions et nos angles de vues. « A ces faux dieux mangeurs de victimes infinies, je préfère notre virtuel permanent, qui comme l'Europe, ne demande la mort de personne. Nous ne voulons plus coaguler nos assemblées avec du sang. Le virtuel, au moins, évite ce charnel-là. Ne plus construire un collectif sur le massacre et le sien propre. Voilà notre avenir de vie face à votre histoire et vos politiques de mort. » écrit le philosophe.