Rebelles non-violents

Que se passe-t-il à Bagnaia ?

Mardi 19 Août 2014

Cela ressemble à un début de roman policier mais ce n'en n'est pas. Et pourtant, il y a un mystère : comment ont-ils fait pour tenir trente-cinq ans ?



Que se passe-t-il à Bagnaia ?
La réponse, vous la lirez dans l'article " On partage tout, la propriété a disparu, et ça marche ". « Sur la terre rouge de Sienne, la Comune di Bagnaia est un projet hors du commun, et presque utopique. » est-il écrit sur le site de Reporterre « En trente ans, un réel exemple d’expérience de vie sociale basée essentiellement sur l’autonomie, la collectivisation de la richesse, l’égalité et la solidarité, a été mis en place. Bagnaia, c’est aussi une ferme, menée selon les principes de l’agriculture biologique, atypique de par ses objectifs de production et son fonctionnement. Fortement imbriquée dans le projet de la Comune, son premier objectif est de produire non pas pour générer un revenu mais pour nourrir les habitants du lieu. » 

Allez sur le site de Reporterre  pour lire la suite et bien d'autres articles qui proposent des informations  sur l’écologie dans toutes ses dimensions, c'est-à-dire une écologie qui « ne peut se réduire à des questions de nature et de pollution ». En empathie avec les mouvements écologiste, altermondialiste, et alternatif, Reporterre nous informe sur les initiatives qui montrent que les alternatives au système dominant sont possibles et réalistes.

Les contenus sont rédigés par ses collaborateurs réguliers mais aussi par des militants d'associations  et des citoyens, « parce qu’il considère que la société civile produit beaucoup d’informations intéressantes, même si elles ne sont pas présentées selon les codes techniques (et au demeurant nécessaires) du journalisme. » A vos claviers !

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Pourquoi ce blog
Marie-Anne Divet
Marie-Anne Divet
Ce qui m'a intéressée dans les idées de Gandhi, c'est le choix. Ou de réagir à la violence par la violence ou de répondre, en me creusant la tête, d'une autre manière, qui respecte l'être humain, comme un autre moi-même. J'aime cette obligation de faire autrement, d'une façon active et créative, une manière d'être à l'autre et non d'avoir l'autre.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.

Marie-Anne Divet