Une pétition est lancée par ActionAid et relayée par Peuples Solidaires intitulée "STOP AUX VIOLENCES CONTRE LES FEMMES !" afin de faire reconnaître les violences sexistes et sexuelles au travail auprès de l'Organisation internationale du travail (OIT).
En effet l'OIT s'apprête à décider si elle doit, ou non, préparer et adopter une Convention internationale sur le sujet, principale cause de décès et d'incapacité pour les femmes entre 15 et 44 ans. Lutter contre les violences faites aux femmes est extrêmement difficile : les violences sexuelles et sexistes sont souvent tolérées et acceptées quand elles ne sont pas tabous. Une convention internationale permettra au sujet de sortir de l'ombre et aux militant-e-s qui luttent de se faire entendre.
Du 30 octobre au 13 novembre, le Conseil d'administration de l'OIT se réunit pour prendre la décision de mettre le sujet à l'ordre du jour. Si les syndicats CGT et CFDT soutiennent la demande, ce n'est pas encore le cas du gouvernement français ni des employeurs. Il est encore temps de signer la pétition et de l'adresser à François Rebsamen, ministre du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social, à Garance Pineau du MEDEF, représentante des employeurs à l'OIT et à Pierre Gattaz, Président du MEDEF.
Une pétition est lancée par ActionAid et relayée par Peuples Solidaires intitulée "STOP AUX VIOLENCES CONTRE LES FEMMES !" afin de faire reconnaître les violences sexistes et sexuelles au travail auprès de l'Organisation internationale du travail (OIT).
En effet l'OIT s'apprête à décider si elle doit, ou non, préparer et d'adopter une Convention internationale sur le sujet, principale cause de décès et d'incapacité pour les femmes entre 15 et 44 ans. Du 30 octobre au 13 novembre, le Conseil d'administration de l'OIT se réunit pour prendre la décision de mettre le sujet à l'ordre du jour.
Lutter contre les violences faites aux femmes est extrêmement difficile : les violences sexuelles et sexistes sont souvent tolérées et acceptées quand elles ne sont pas tabous. Une convention internationale permettra au sujet de sortir de l'ombre et aux militant-e-s qui luttent de se faire entendre.
Si les syndicats CGT et CFDT soutiennent la demande, ce n'est pas encore le cas du gouvernement français ni des employeurs. Il est encore temps de signer la pétition et de l'adresser à François Rebsamen, ministre du Travail, de le Emploi et du Dialogue social, à Garance Pineau du MEDEF, représentante des employeurs à l'OIT et à Pierre Gattaz, Président du MEDEF.35 % des femmes dans le monde ont été victimes
En effet l'OIT s'apprête à décider si elle doit, ou non, préparer et d'adopter une Convention internationale sur le sujet, principale cause de décès et d'incapacité pour les femmes entre 15 et 44 ans. Du 30 octobre au 13 novembre, le Conseil d'administration de l'OIT se réunit pour prendre la décision de mettre le sujet à l'ordre du jour.
Lutter contre les violences faites aux femmes est extrêmement difficile : les violences sexuelles et sexistes sont souvent tolérées et acceptées quand elles ne sont pas tabous. Une convention internationale permettra au sujet de sortir de l'ombre et aux militant-e-s qui luttent de se faire entendre.
Si les syndicats CGT et CFDT soutiennent la demande, ce n'est pas encore le cas du gouvernement français ni des employeurs. Il est encore temps de signer la pétition et de l'adresser à François Rebsamen, ministre du Travail, de le Emploi et du Dialogue social, à Garance Pineau du MEDEF, représentante des employeurs à l'OIT et à Pierre Gattaz, Président du MEDEF.35 % des femmes dans le monde ont été victimes
de violence, qu’elle soit physique et/ou sexuelle.
l
Entre 40 et 50 % des femmes subissent des
avances sexuelles, des contacts physiques non
désirés ou d’autres formes de harcèlement sexuel
au travail.
35
35 % des femmes dans le monde ont été victimesde violence, qu’elle soit physique et/ou sexuelle.
l
Entre 40 et 50 % des femmes subissent des
avances sexuelles, des contacts physiques non
désirés ou d’autres formes de harcèlement sexuel
au travail.