Rebelles non-violents

Hôtel écolo à Paris

Jeudi 16 Mai 2013


Hôtel écolo à Paris
Vous avez besoin de trouver un hôtel à Paris ? le Solar Hotel peut répondre à vos besoins. De la pub, direz-vous ? Non, plutôt un tuyau qu'on se passe entre copains. Au Solar Hotel, le voyageur que vous êtes trouvera une chambre confortable faite avec du bois de récupération, de la peinture bio et pas d'ondes nocives, un petit déjeuner bio en provenance de la Biocoop voisine, du compost pour jeter vos épluchures d'orange, des vélos pour visiter la capitale ou vous rendre à votre rendez-vous.

Vous vous dites : il y a anguille sous roche, ce super hôtel est à 20 kilomètres de Paris. Pas du tout, il est en plein XIV ème arrondissement, dans le quartier de Montparnasse. Panneaux solaires sur la façade et photos de militants écologistes, pas moyen de le rater. Alors, il est hors de prix ? à 69 euros la nuit avec petit déjeuner et vélos, connection wifi au rez de chaussée, il est dans les clous des hôtels de sa catégorie.

Alors, quel est le mystère ? Franck Laval, son directeur, est un militant écolo de la première heure, ancien des Amis de la Terre et instigateur du Grenelle de l’environnement. Un séjour au Solar sera, grâce à lui, l'opportunité de faire votre remis à niveau : l'hôtel héberge de nombreuses associations come Sea Shepherd, Ecologie sans Frontière et Rire pour la planète.

Un lieu d'animation

Le Solar Hotel, c'est aussi un lieu où se croisent des artistes, des personnalités politiques et des militants du monde associatif. Franck Laval et le personnel les accueillent pour des expos et des animations.

Le prochain vernissage aura lieu le vendredi 17 mai à partir de 18 heures et c'est Dalibor Tanko qui sera à l'honneur. Artiste qui travaille la peinture à l’huile, la gravure à l’eau-forte et la sculpture en bois, il est l'auteur de la Fresque « Les lutteurs » à l’U.S. Métro de Pantin.


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Pourquoi ce blog
Marie-Anne Divet
Marie-Anne Divet
Ce qui m'a intéressée dans les idées de Gandhi, c'est le choix. Ou de réagir à la violence par la violence ou de répondre, en me creusant la tête, d'une autre manière, qui respecte l'être humain, comme un autre moi-même. J'aime cette obligation de faire autrement, d'une façon active et créative, une manière d'être à l'autre et non d'avoir l'autre.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.

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