Afghanistan, dans les prisons des femmes (Sonia Naudy)
Envie d'ailleurs en ce début d'automne ? Le Mexique ? La Chine ? Le Cachemire ? Les Iles Marshall ? Embarquez pour la baie de Saint-Brieuc où s'ouvre ce week-end (vendredi 19 octobre) le Festival Photoreporter.
Le monde vous est livré à domicile pour ce premier festival international du photojournalisme qui se prolonge jusqu'au 11 novembre : quinze reportages inédits, commandés et financés par le festival, ramenés des quatre coins du monde par des reporters photographes reconnus ou encore en quête de reconnaissance malgré leur talent.
On pénètre dans les prisons pour femmes en Afghanistan (Sonia Naudy) ; on y rencontre "Les mangeurs de cuivre" en République démocratique du Congo (Gwen Dubourthoumieu) ; on s'y interroge sur les promesses de "L'eau du Nil, partage ou guerre" (Franck Vogel) ; on s'y inquiète de "La vie à durée déterminée", voyage dans la France précaire (Olivier Jobars) ; on y est dérouté par "La Russie de Poutine" (Antoine Gyori) ; on s'y étonne de l'existence d'"Une police indigène, héroïque et incorruptible" dans l'Etat de Guerrero, au Mexique (Pierre-Yves Marzin), etc… Chaque reportage est en fait une histoire, une plongée dans un univers.
À l'heure où le monde de la presse tourne le dos au travail des reporters photographes, pourtant si indispensables à notre compréhension du monde, on ne peut que se réjouir de la naissance de ce nouveau festival, dont les thèmes de reportage sont choisis sur projets un an auparavant, et lui souhaiter longue vie, à l'instar de son grand aîné, l'incontournable "Visa pour l'image", chaque mois de septembre, à Perpignan.
Le monde vous est livré à domicile pour ce premier festival international du photojournalisme qui se prolonge jusqu'au 11 novembre : quinze reportages inédits, commandés et financés par le festival, ramenés des quatre coins du monde par des reporters photographes reconnus ou encore en quête de reconnaissance malgré leur talent.
On pénètre dans les prisons pour femmes en Afghanistan (Sonia Naudy) ; on y rencontre "Les mangeurs de cuivre" en République démocratique du Congo (Gwen Dubourthoumieu) ; on s'y interroge sur les promesses de "L'eau du Nil, partage ou guerre" (Franck Vogel) ; on s'y inquiète de "La vie à durée déterminée", voyage dans la France précaire (Olivier Jobars) ; on y est dérouté par "La Russie de Poutine" (Antoine Gyori) ; on s'y étonne de l'existence d'"Une police indigène, héroïque et incorruptible" dans l'Etat de Guerrero, au Mexique (Pierre-Yves Marzin), etc… Chaque reportage est en fait une histoire, une plongée dans un univers.
À l'heure où le monde de la presse tourne le dos au travail des reporters photographes, pourtant si indispensables à notre compréhension du monde, on ne peut que se réjouir de la naissance de ce nouveau festival, dont les thèmes de reportage sont choisis sur projets un an auparavant, et lui souhaiter longue vie, à l'instar de son grand aîné, l'incontournable "Visa pour l'image", chaque mois de septembre, à Perpignan.