C'est un crime, banal, ordinaire, où victime et coupable, le plus souvent, sont proches, vivent parfois sous le même toit. C'est un crime du silence, malgré la loi, malgré tous les discours. Un jour, pour deux journalistes, le silence s'est rompu. Audrey Guiller et Nolwenn Weiler ont reçu un coup de fil : « Les filles, j'ai quelque chose à vous dire... »
Deux ans et un affaire DSK plus tard, elles publient un livre de 208 pages à lire absolument. Un livre d'enquête où rien n'est laissé dans l'ombre. Il y a des chiffres, accablants ; les paroles des spécialistes, magistrats, policiers, médecins, psychologues, sociologues... Mais c'est bien plus qu'un livre sur le viol, c'est un parcours avec des femmes et aussi des hommes, avec des victimes dont les mots, poignants, parlent bien davantage que toutes les analyses.
Michel Rouger
Le viol, un crime presque ordinaire, de Audrey Guiller et Nolwenn Weiler, Editions Le Cherche Midi, 208 pages; 14,90 €.
A consulter : viol-lelivre.com
Deux ans et un affaire DSK plus tard, elles publient un livre de 208 pages à lire absolument. Un livre d'enquête où rien n'est laissé dans l'ombre. Il y a des chiffres, accablants ; les paroles des spécialistes, magistrats, policiers, médecins, psychologues, sociologues... Mais c'est bien plus qu'un livre sur le viol, c'est un parcours avec des femmes et aussi des hommes, avec des victimes dont les mots, poignants, parlent bien davantage que toutes les analyses.
Michel Rouger
Le viol, un crime presque ordinaire, de Audrey Guiller et Nolwenn Weiler, Editions Le Cherche Midi, 208 pages; 14,90 €.
A consulter : viol-lelivre.com
Nolwenn Weiler (à g.) et Audrey Guiller (à d.). Photo Laurent Guizard