La semaine de la santé mentale avait pour thème cette année la parentalité et le handicap.
Diffusé à de multiples reprises, le film de Noémie Lvosky aborde la difficile question du rapport entre l'enfant et son parent fragilisé par la maladie mentale.
Dans " Demain et tous les autres jours ", comme elle l'avait fait dans " Camille redouble " Noémie Lvosky écrit, réalise et joue le rôle d'une mère qui perd la tête.
« Je ne suis pas une bonne mère », dit-elle à la psychologue scolaire. Elle n'est pas là le soir quand Mathilde, sa fille de 9 ans, rentre de l'école. Elle essaie des robes de mariée et se promène avec une traîne blanche. Elle monte dans un train, au hasard, le soir de Noël ou embarque la valise pour déménager.
Pour protéger cette mère si fragile, Mathilde se débrouille, prépare les repas, ment à son à son entourage.
Ce conte fantastique est dédié à Geneviève Lvovsky, la mère de la réalisatrice, fragile elle aussi après ses séjours en hôpital psychiatrique et qui a quitté la maison alors que Noémie avait 9 ans.
Diffusé à de multiples reprises, le film de Noémie Lvosky aborde la difficile question du rapport entre l'enfant et son parent fragilisé par la maladie mentale.
Dans " Demain et tous les autres jours ", comme elle l'avait fait dans " Camille redouble " Noémie Lvosky écrit, réalise et joue le rôle d'une mère qui perd la tête.
« Je ne suis pas une bonne mère », dit-elle à la psychologue scolaire. Elle n'est pas là le soir quand Mathilde, sa fille de 9 ans, rentre de l'école. Elle essaie des robes de mariée et se promène avec une traîne blanche. Elle monte dans un train, au hasard, le soir de Noël ou embarque la valise pour déménager.
Pour protéger cette mère si fragile, Mathilde se débrouille, prépare les repas, ment à son à son entourage.
Ce conte fantastique est dédié à Geneviève Lvovsky, la mère de la réalisatrice, fragile elle aussi après ses séjours en hôpital psychiatrique et qui a quitté la maison alors que Noémie avait 9 ans.