Il faut lire la vie de cet homme-là. Pour croire de nouveau à la démocratie ! Rêver que des tas de Tino Kerdraon peuvent émerger en France et ailleurs. Entré à 18 ans comme dessinateur industriel à l'arsenal de Brest, Tino Kerdraon s'est engagé très tôt, à la JOC, puis à la CFDT où il a dans les deux cas assumé très jeune des responsabilités nationales. Et puis, en 1974, à 31 ans, alors que la gauche venait de rater de peu l'élection présidentielle, il est entré au Parti Socialiste dont il a grimpé peu à peu les marches jusqu'à devenir député en 1997. Pour cinq ans seulement alors que sa réélection était assurée…
Tout l'homme se résume là. Dans ce choix incongru aux yeux de ses pairs, dans un système politique où la course aux places est au contraire féroce. Tino Kerdraon, un homme aux convictions bien trempées, ancrées dans le meilleur de la terre finistérienne qui nourrit volontiers des aspirations de justice, de liberté, de démocratie sociale, et l'esprit aussi de révolte.
Cette histoire exemplaire d'un véritable élu du peuple vient d'être racontée par Alain Cabon, ancien grand reporter à Ouest-France.
Tino Kerdraon, de l'arsenal à l'assemblée, Éditions Coop Breizh, 130 pages, 15 €.
Tout l'homme se résume là. Dans ce choix incongru aux yeux de ses pairs, dans un système politique où la course aux places est au contraire féroce. Tino Kerdraon, un homme aux convictions bien trempées, ancrées dans le meilleur de la terre finistérienne qui nourrit volontiers des aspirations de justice, de liberté, de démocratie sociale, et l'esprit aussi de révolte.
Cette histoire exemplaire d'un véritable élu du peuple vient d'être racontée par Alain Cabon, ancien grand reporter à Ouest-France.
Tino Kerdraon, de l'arsenal à l'assemblée, Éditions Coop Breizh, 130 pages, 15 €.