20210930 rap, graffs, théâtre.mp3 (1.25 Mo)
"L’art est une arme" : dans un reportage d'une douzaine de minutes seulement, la journaliste Sarah-Samya Anfis nous emmène à la rencontre de jeunes Irakiens qui, de Mossoul à Bagdad, en passant par Bassorah, surmontent par l'expression artistique autant le chaos politique et sécuritaire dans lequel ils ont grandi que le poids des traditions religieuses et sociales.
A Mossoul, Muammar, 23 ans, parle dans ses textes des galères de la vie quotidienne, des amours de jeunesse mais aussi des guerres et des violences qu’il a côtoyées depuis sa naissance.
A Bagdad, Kathreen partage son temps entre la fac et le théâtre. Sur une petite scène du théâtre national irakien, elle répète avec d’autres comédiens une pièce sur la condition des femmes dans son pays.
A Bassorah, où une scène émergente du graffiti a vu le jour ces dernières années, un jeune artiste graffeur dessine sous les ponts qui jouxtent les rives du Chatt-el-Arab, en dépit des menaces dont il pourrait faire l’objet par les tribus locales, les forces de sécurité irakiennes ou encore les milices chiites.
A Mossoul, Muammar, 23 ans, parle dans ses textes des galères de la vie quotidienne, des amours de jeunesse mais aussi des guerres et des violences qu’il a côtoyées depuis sa naissance.
A Bagdad, Kathreen partage son temps entre la fac et le théâtre. Sur une petite scène du théâtre national irakien, elle répète avec d’autres comédiens une pièce sur la condition des femmes dans son pays.
A Bassorah, où une scène émergente du graffiti a vu le jour ces dernières années, un jeune artiste graffeur dessine sous les ponts qui jouxtent les rives du Chatt-el-Arab, en dépit des menaces dont il pourrait faire l’objet par les tribus locales, les forces de sécurité irakiennes ou encore les milices chiites.