La machine qui nettoierait les océans tout en les respectant.
« A seulement 19 ans, Boyan Slat est l'un des inventeurs d'une plateforme qui serait capable de nettoyer près 99,9% des déchets qui encombrent les eaux internationales. Un projet original, parce qu'il n'utilise pas de filets.
Objet flottant non identifié, le navire de Boyan Slat est flanqué de longs bras montés sur des bouées, faisant face à l'immensité. Ce système ne comporte aucun filet, ce qui permettrait de nettoyer les océans non pas en 79 000 ans (comme le prédisaient certains scientifiques) mais en seulement 5 ans ! Une différence qui a de quoi réjouir les militants écologistes les plus désabusés.
Les déchets ne seront pas "attrapés" dans des filets, mais déviés par de gigantesques structures. L'absence de filets s'avère aussi particulièrement respectueuse de la flore locale puisque les déchets seront déplacés sans emprisonner les poissons et autres animaux marins.
C'est par la force des courants marins que le plastique sera dirigé vers la plateforme de nettoyage, elle-même auto-alimentée grâce au soleil et aux vagues.
Le génie du projet tient aussi au fait que les débris ainsi récupérés permettraient de générer plus d'argent qu'il n'en faut pour construire la plateforme. L'affaire serait même rentable.
Une étude de faisabilité est en cours : le projet de Boyan Slat et de son équipe d'ingénieurs a déjà traversé un quart du processus. »
Article de A. Degand - rtbf.be - à retrouver en intégralité ici.
Objet flottant non identifié, le navire de Boyan Slat est flanqué de longs bras montés sur des bouées, faisant face à l'immensité. Ce système ne comporte aucun filet, ce qui permettrait de nettoyer les océans non pas en 79 000 ans (comme le prédisaient certains scientifiques) mais en seulement 5 ans ! Une différence qui a de quoi réjouir les militants écologistes les plus désabusés.
Les déchets ne seront pas "attrapés" dans des filets, mais déviés par de gigantesques structures. L'absence de filets s'avère aussi particulièrement respectueuse de la flore locale puisque les déchets seront déplacés sans emprisonner les poissons et autres animaux marins.
C'est par la force des courants marins que le plastique sera dirigé vers la plateforme de nettoyage, elle-même auto-alimentée grâce au soleil et aux vagues.
Le génie du projet tient aussi au fait que les débris ainsi récupérés permettraient de générer plus d'argent qu'il n'en faut pour construire la plateforme. L'affaire serait même rentable.
Une étude de faisabilité est en cours : le projet de Boyan Slat et de son équipe d'ingénieurs a déjà traversé un quart du processus. »
Article de A. Degand - rtbf.be - à retrouver en intégralité ici.