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C'est seulement en 2015 que l'assemblée générale de l'ONU a adopté la résolution A/RES/70/212 qui proclame que, désormais, le 11 février de chaque année, c'est la Journée internationale des femmes et des filles de science qui vise à sensibiliser le public et rappeler à la communauté internationale que la science et l'égalité des genres doivent aller de pair afin de relever les grands défis mondiaux et atteindre tous les objectifs et cibles du Programme de développement durable à l'horizon 2030.
Selon l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, à l’heure actuelle moins de 30 % des chercheurs dans le monde sont des femmes. Selon les données de 2014-2016 de l'Organisation environ 30 % seulement des étudiantes choisissent des domaines liés aux STEM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) dans l'enseignement supérieur. A l’échelle mondiale, le taux de scolarisation des filles est particulièrement faible dans les domaines suivants : technologies de l'information et des communications (3 %),
L'événement se tiendra en ligne via la plateforme Zoom. Pour participer, il suffit de s'enregistrer. L'interprétation simultanée des débats en anglais et en français sera assurée.
M-A D
Selon l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, à l’heure actuelle moins de 30 % des chercheurs dans le monde sont des femmes. Selon les données de 2014-2016 de l'Organisation environ 30 % seulement des étudiantes choisissent des domaines liés aux STEM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) dans l'enseignement supérieur. A l’échelle mondiale, le taux de scolarisation des filles est particulièrement faible dans les domaines suivants : technologies de l'information et des communications (3 %),
sciences naturelles, mathématiques et statistique (5 %), ingénierie, fabrication et construction (8 %).
Depuis longtemps, les préjugés et les stéréotypes de genre éloignent les filles et les femmes des domaines liés à la science. Le monde à l'écran reflète, comme dans le monde réel, des biais similaires. L'étude de 2015 intitulée « Préjugés sexistes sans frontières », réalisée par le Geena Davis Institute a montré que, parmi les personnages montrés à l'écran et ayant un travail identifiable aux STEM, 12 % seulement étaient des femmes. Cette année, la journée aura pour thème « Les femmes scientifiques à la pointe de la lutte contre la COVID-19 » et rassemblera des expert(e)s de différentes régions du monde travaillant dans des domaines liés à la pandémie. L'événement se tiendra en ligne via la plateforme Zoom. Pour participer, il suffit de s'enregistrer. L'interprétation simultanée des débats en anglais et en français sera assurée.
M-A D