Jean-Louis Laville, titulaire de la chaire « Economie solidaire » au CNAM, est l'un des meilleurs connaisseurs du mouvement associatif : sa longue histoire, sa richesse, ses ambiguïtés aussi nées au fil du temps et du développement. Sur le blog qu'il tient sur Mediapart, il plaide avec le soutien d'associations, pour une "co-construction entre réseaux associatifs et pouvoirs publics" qu'il voit comme la promesse d'une "vitalité démocratique retrouvée".
Durement éprouvées par la crise sanitaire, les associations doivent faire l'objet d'un "plan de relance de grande ampleur". Il ne s'agit "pas d'une relance classique" mais d'une "relance qui soit le vecteur d’une nouvelle action publique (...) En sortant du mépris vis-à-vis du monde associatif, en élaborant des complémentarités inédites entre celui-ci et le service public, nous pouvons œuvrer à un nouveau contrat social pour le XXIe siècle."
Comme nous l'avons signalé ici, Jean-Louis Laville a aussi souligné récemment sur France Inter combien « La solidarité est une notion négligée. Elle a été remplacée par la philanthropie qui se nourrit de l'augmentation des inégalités »
Durement éprouvées par la crise sanitaire, les associations doivent faire l'objet d'un "plan de relance de grande ampleur". Il ne s'agit "pas d'une relance classique" mais d'une "relance qui soit le vecteur d’une nouvelle action publique (...) En sortant du mépris vis-à-vis du monde associatif, en élaborant des complémentarités inédites entre celui-ci et le service public, nous pouvons œuvrer à un nouveau contrat social pour le XXIe siècle."
Comme nous l'avons signalé ici, Jean-Louis Laville a aussi souligné récemment sur France Inter combien « La solidarité est une notion négligée. Elle a été remplacée par la philanthropie qui se nourrit de l'augmentation des inégalités »