Photo Audrey Cerdan
Il n'y a pas que les Indignés de New York, Madrid, Londres, Paris... À Puy d'Arnac, en Corrèze, ils étaient une vingtaine, ce soir-là, réunis pour partager leur indignation devant les dégâts sociaux et l'incapacité des politiques à s'y attaquer. Il y avait des agriculteurs, une maraîchère, un plombier-chauffagiste, des artistes, des artisans... Zineb Dryef, pour le texte, et Audrey Cerdan, pour la photo, en rendent compte dans un reportage de Rue89.
Parmi toutes les paroles recueillies, citons par exemple cette phrase de Marie, 50 ans, qui survit avec quelques centaines d'euros par mois : « Il faut que les politiques sachent l'état de délabrement de nos vies. Le choix aujourd'hui, c'est de payer ses factures ou de manger. Il faut que les politiques parlent de ça, soient plus concrets. C'est une grande révolte. Les petits raccommodages ne suffisent pas. »
Les Indignés de Corrèze ne veulent pas rester les bras croisés : ils veulent rassembler des gens, mener des actions de désobéissance civile...
Parmi toutes les paroles recueillies, citons par exemple cette phrase de Marie, 50 ans, qui survit avec quelques centaines d'euros par mois : « Il faut que les politiques sachent l'état de délabrement de nos vies. Le choix aujourd'hui, c'est de payer ses factures ou de manger. Il faut que les politiques parlent de ça, soient plus concrets. C'est une grande révolte. Les petits raccommodages ne suffisent pas. »
Les Indignés de Corrèze ne veulent pas rester les bras croisés : ils veulent rassembler des gens, mener des actions de désobéissance civile...