La résidence Villa Village à Lille © Radio France / Cécile Bidault
20210521 villa village.mp3 (1.53 Mo)
Le mal-logement est un problème endémique en France. D'après la Fondation Abbé Pierre, quatre millions de personnes sont mal logées, dont un million privées de logement personnel. A Lille, un hôtel particulier a été entièrement rénové et transformé en résidence intergénérationnelle par une riche héritière pour en faire un lieu où vivent ensemble, cabossés par la vie ou non, jeunes, vieux, de toutes origines sociales ou culturelles.
Dans cette résidence intergénérationnelle, étudiants, jeunes actifs, anciens sans-abris, personnes âgées, étrangers, tout le monde trouve sa place dans l'un des 11 logements entièrement équipés et aux loyers très modérés.
À Villa Village, pas besoin de garant pour signer le bail. Pas de chèque de caution. Et on ne vous demande pas un mois de loyer en avance. "Le fait d'être ici, posé, on peut faire ses papiers, on peut retrouver du travail. Cela nous a redonné le sourire", explique Anthony, l'un des locataires, qui vivait précédemment à la rue. France Inter a récemment consacré une émission de 46 minutes à Villa Village.
Il s'agit ici d'une initiative individuelle. Mais cette réalisation montre un aspect de ce que pourrait être une politique publique très volontariste en faveur des plus démunis. On a le droit de rêver !
Dans cette résidence intergénérationnelle, étudiants, jeunes actifs, anciens sans-abris, personnes âgées, étrangers, tout le monde trouve sa place dans l'un des 11 logements entièrement équipés et aux loyers très modérés.
À Villa Village, pas besoin de garant pour signer le bail. Pas de chèque de caution. Et on ne vous demande pas un mois de loyer en avance. "Le fait d'être ici, posé, on peut faire ses papiers, on peut retrouver du travail. Cela nous a redonné le sourire", explique Anthony, l'un des locataires, qui vivait précédemment à la rue. France Inter a récemment consacré une émission de 46 minutes à Villa Village.
Il s'agit ici d'une initiative individuelle. Mais cette réalisation montre un aspect de ce que pourrait être une politique publique très volontariste en faveur des plus démunis. On a le droit de rêver !