Le 26 mai, 58 anciens salariés de Fralib ont relancé une production de thé et d'infusions sous la marque 1336. Réunis en coopérative, la Scop TI, les anciens ouvriers et ouvrières de l'usine Unilever fermée en 2010, ont vécu 1336 jours de conflit,.
C'est seulement début 2014 qu'Unilever accepte de discuter des conditions de licenciement et de la poursuite de l'activité. Le 26 mai, Unilever, outre les indemnités des travailleurs, la multinationale cède 2 850 000 euros à la future entreprise, qui avait déjà les locaux et les machines dès 2012 par l'intermédiaire de la communauté urbaine de Marseille. Le 5 octobre, les salarié-e-s créent la société coopératif Scop TI. Décembre 2014, le nouveau logo, une jeune pousse sortant d'un tas de thé est posé à la porte de l'usine.
Premier objectif, se positionner sur le marché du thé et de l'infusion. 7000 tonnes de thé et environ 3000 tonnes d'infusions sont consommées annuellement en France, pour des montants de 558 et 69 millions d'euros. Les salarié-e-s de Scop TI sont partis à la conquête des rayons de la grande distribution avec la volonté de commercialiser les produits locaux comme le tilleul des Baronnies, la lavande, la verveine... en garantissant l'origine bio des produits. Ils ont en tête de recréer la filière des plantes aromatiques et médicinales du sud de la France. Pour le thé des contacts sont pris avec la coopérative coopérative de Yên Bái au Vietnam.
Le projet prévoit une montée progressive de la production, de 350 à 650 tonnes d'ici trois ans.
"Les banques et les multinationales n’hésitent pas à se comporter comme des « super-prédateurs » exploitant partout sur la planète les peuples et la nature pour mieux satisfaire ces exigences de profit. Rien ne menace plus désormais ces requins, sinon leurs propres semblables. Face à ces requins, les citoyen.ne.s sont des proies sans défenses." écrit le mouvement Attac sur son site. "Pourtant ils et elles peuvent unir leurs forces et agir ensemble pour mettre un terme à l’impunité de ces requins, et remettre en cause leur pouvoir destructeur. Car ils ont leurs points faibles ! À nous de les exploiter pour porter atteinte à leurs intérêts, à leur image de marque ou, tout simplement, à leur sacro-saint chiffre d’affaires."
Attac en fait l'objet de sa campagne Les requins 2015 et a lancé une campagne d'action citoyenne autour de l'édition participative d'un " kit anti-requin" contenant les outils pour traquer les trois requins de l'année : BNP Paribas, Total et Sofiprotéol.
Sortir de la super machine à broyer les consciences qu'est la société de consommation, nous sommes beaucoup à y aspirer. Mais comme l'écrit dans l'introduction, Serge Latouche, professeur d'économie à l'université Paris-Sud d'Orsay, " Il ne s'agit pas de substituer une " bonne économie" à une " mauvaise", ni une "bonne" croissance ou un "bon" développement à leur mauvaise version en la repeignant en vert, en social ou en équitable, avec une dose plus ou moins forte de régulation étatique ou d'hybridation par la logique du don et de la solidarité. Il s'agit de sortir de l'économie"
Nous sommes dans l'illimitation, illimitation de la production et la destruction des ressources naturelles qui va avec, illimitation de la consommation et sa création illimitée de besoins, illimitation de production de déchets, illimitation dans tous les domaines...
En cela rien de bien original si on se réfère à la définition qu'en donne le réseau des AMAP
Mais Court-circuit va au-delà et met en acte l'autogestion. Parce qu'à Court-circuit, pas de structure juridique, pas de président, pas de secrétaire ou de trésorier, à chacun et chacune de prendre ses responsabilités.
Pour en savoir plus, lire l'article de Reporterre, le quotidien de l'écologie, en cliquant Ici
Avant, jetez un oeil sur le dernier rapport de l'Oxfam " Insatiable richesse". Cela ne vous surprendra pas de savoir que 1% des habitants de la planète Terre possède 48 % de la richesse mondiale.
L' ONG ne fait pas seulement le constat, elle propose une réforme fiscale avec la création d'un impôts sur les grosses fortunes : une taxation de 1,5% des milliardaires permettrait de dégager 58 milliards d'euros.
Vous voulez toujours savoir si vous faites partie des riches ? Sachez qu'un français qui gagne 2000 euros par mois figure parmi les 1,61 % les plus riches de la planète.
Pour avoir été lanceur d'alerte, Antoine Deltour risque jusqu'à cinq ans de prison et 1 250 000 euros d'amende.
Alors qu'il travaille sur la capitalisation de son expérience professionnelle, en octobre 2010, Antoine Deltour découvre des accords fiscaux conclus par le fisc luxembourgeois pour le compte de multinationales. Pour avoir révélé ce qui est pour lui un acte civique, à savoir lutter pour davantage de justice fiscale, Antoine Deltour est aujourd'hui poursuivi par la justice luxembourgeoise. Il risque la prison et une condamnation financière très élevée.
Si vous souhaitez rejoindre ceux et celles qui lui apportent leur soutien, Daniel Cohn-Bendit, Thomas Piketty, Eva Joly, Edward Snowden, consultez
support-antoin.org
change.org/soutenonsantoinedeltour
François Maspero fut contre la guerre d'Algérie et la défense de la cause de l'indépendance, risquant la survie de sa maison d'édition, rappelle Hubert Rouaud, de l'association 4ACG, " Je peux témoigner que ses livres comme ceux des Éditions de minuit eurent un rôle essentiel pour que ceux qui les lurent ne partent pas en Algérie ou, au minimum, y aillent avec une conscience politique leur évitant de commettre ou de tolérer les exactions accompagnant trop souvent la prétendue "pacification" et, à ce titre, je lui suis redevable."
En effet, François Maspero fut une des chevilles ouvrières du manifeste des 121 , déclaration signée en septembre 1960, par cent vingt et un intellectuels français pour dénoncer la guerre d'Algérie. De son vrai titre Déclaration sur le droit à l'insoumission dans la guerre d'Algérie, le manifeste souligne que " la population algérienne opprimée " ne cherche qu'à être reconnue que " comme communauté indépendante ". Il dénonce la torture qui " va contre les institutions démocratiques ".
Le manifeste fait aussi des propositions : " Nous respectons et jugeons justifié le refus de prendre les armes contre le peuple algérien. Nous respectons et jugeons justifiée la conduite des Français qui estiment de leur devoir d'apporter aide et protection aux Algériens opprimés au nom du peuple français. La cause du peuple algérien, qui contribue de façon décisive à ruiner le système colonial, est la cause de tous les hommes libres."
Quatre groupes se forment alors qu'il commence à pleuvoir. La répartition du matériel effectuée, nous prenons la direction du métro.
Nous sommes alors accompagnés de deux journalistes. La police nous suit jusqu'au quai mais ne rentre pas dans la rame. Quatre groupes pour quatre directions : Nord, Sud, Est et Ouest.
Avec mon groupe, nous partons vers l'Est : ligne 11. Parmi la foule, nous perdons l'un des journalistes. Pas grave, il est resté avec un autre groupe. Nous n'avons pas de problème particulier hormis un contrôle d'identité par la gendarmerie dans les couloirs à République. La sécurité RATP aperçoit mon groupe dans les couloirs à Bastille alors que nous venions de recouvrir un panneau lumineux et de coller des affiches dans un passage très fréquenté.
« De Grèce et d’Espagne, écrit le réalisateur, un vent du sud contre la résignation souffle sur l’Europe. Dans les villes et les campagnes, dans les îles et les montagnes, au cœur des luttes et des alternatives en actes, des femmes, des hommes, mais aussi des enfants refusent de baisser les bras. Une même devise résume leur courage de résister, leur joie de créer et leur persévérance à toute épreuve : "JE LUTTE DONC JE SUIS" (prononcer "AGONIZOMAI ARA IPARKO" en grec et "LUCHO LUEGO EXISTO" en espagnol). Quelques mots pour vivre debout, parce que rester assis, c’est se mettre à genoux. Une brise marine, souriante et solidaire, de Barcelone à Athènes et d’Andalousie en Crète, qui repousse les nuages du pessimisme. Un voyage palpitant en musique, d’un bout à l’autre de la Méditerranée, en terres de luttes et d’utopie. »
Soutenir
Au 31 décembre 2014, l'équipe toute bénévole y compris le réalisateur et les musiciens avait recueilli 1042 euros sur un budget total de 18 700 euros. Pour que le film à but non lucratif puisse être financé, puis diffusé et mis en ligne gratuitement (creative commons), il est nécessaire que ceux qui le peuvent soutiennent cette démarche originale en allant sur le site Je lutte donc je suis
Pour voir le film " Ne vivons plus comme des esclaves " en intégralité, cliquer ici
Ce livret ludique conçu pour mieux comprendre la réalité de la pauvreté en France, a reçu le label défenseur des droits des enfants et est sorti à l’occasion du 25è anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant le 20 novembre 2014..
Pour répondre aux questions des enfants
Ce livret, conçu par la rédaction d’Astrapi, a débuté par une séance de travail entre une journaliste et une classe de CM2 d’Apprentis d’Auteuil. Les 16 pages au format A5 proposent 3 petites bandes dessinées rappelant les conditions de vie liées à la pauvreté, puis 6 idées fausses qui sont démontées et accompagnées de témoignages positifs montrant que la misère n’est pas une fatalité.
Vous pouvez télécharger le livret " Stop aux idées fausses sur la pauvreté " en allant sur le site d'ATD Quart-Monde.
ATD Quart Monde travaille depuis 2011 sur un projet qui a besoin de s'appuyer sur cette loi pour aboutir. Le mouvement vous propose d'envoyer un courrier au Premier ministre et aux député-e-s, pour les encourager à voter cette loi au plus vite et donner de meilleures chances au projet d'ATD et… à d'autres probablement.
Pendant des années, les gouvernement successifs ont promis d'y remédier. Les jeunes filles et les femmes continuent de subir des agressions tant dans la sphère privée que publique, notamment des agressions sexuelles collectives et des tortures en détention.
Malgré les réformes, la situation reste inchangée. Plus de 99 % des femmes interrogées par une ONG en 2013 ont dit avoir subi des formes d'harcèlement sexuel. Les condamnations sont rares et la plupart des victimes attendent qu'on leur rende justice.
Avant les prochaines élections parlementaires, prévues en mars, signons la pétition pour que cette question soit inscrite à l'agenda politique.
Pour signer la pétition, cliquez ici
" Les alertes historiques de Rachel Carlson sur les dangers des pesticides en 1962 et de René Dumont sur les limites de la planète en 1974 nous rappellent que l'écologie, cela a d'abord été et cela reste un cri d'alarme, une ou plusieurs voix qui s'élèvent pour dénoncer une pollution, les méfaits d'une multinationale, un système industriel destructeur..." écrit Guillaume Gamblin pour présenter le dossier dans la revue S!lence, dossier préparé avec la Fondation Sciences Citoyennes. " En général, c'est une personne qui commence à se lever pour clamer la vérité afin qu'éclate au grand jour un scandale sanitaire ou écologique... Pouvoir mieux protéger et soutenir les lanceurs d'alerte est une urgence."
Irène Frachon, la pneumologue, Bradley Manning, le soldat états-unien, Edward Snowden, l'informaticien, Nicole Marie Mayer, la fonctionnaire du Quai d'Orsay et bien d'autres ont, dans le cadre de leur activité professionnelle ou en dehors, lancé une alerte qui sur l'environnement, qui sur la santé, qui sur la finance... Cela n'a pas été sans répercussion sur leur vie, Manning purge actuellement une peine de 35 ans de prison et Nicole Marie Mayer n'est plus fonctionnaire.
Qu'on de le dise : des personnes ordinaires, engagées et avec des idées plein la tête, il y en a. Le site Histoires Ordinaires en fait la preuve toutes les semaines.
Il ne suffit pas de les découvrir même si cela donne la pêche ! Pour passer " de la colère à l'action collective, pour nous mettre en action avec des habitants, avec nos voisins ", les Cré'alters et Semer proposent d'aller plus loin au cours d'une formation de deux jours les 23 et 24 février prochain au Solilab ( 8 rue Saint Domingue, île de Nantes, Nantes ).
" Une formation à destination de celles et ceux qui veulent passer à l'action, et/ou accompagner des dynamiques citoyennes pour une transition vers une société plus juste, écologique, solidaire et conviviale." L'Empowerment, la méthode Alinsky, l'intelligence collective et la posture coopérative... autant de leviers et de techniques facilitant le "pouvoir d'agir" des citoyens.
Pour en savoir plus
Contact : fanny.lescrealters@gmail.com
02 85 52 33 90
http://lescrealters.org/
Le cinquième rapport du Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat ( GIEC ) le dit clairement : "Les changements climatiques au cours du 21ème siècle risquent d’accroitre les déplacements forcés de population, notamment celles qui seront les plus exposées aux évènements météorologiques extrêmes, dans les pays à faible revenu. Les changements climatiques peuvent donc contribuer à exacerber indirectement (en affectant l’accès aux ressources en eaux, aux cultures, etc.) les risques de conflits violents, notamment les guerres civiles, et les violences intergroupes.
On risque d’assister à une exacerbation des sources des conflits comme la pauvreté ou les crises économiques.
Les changements climatiques pourraient aussi avoir des impacts sur des infrastructures, mais aussi sur l’intégrité territoriale de nombreux États. Cela aura alors une influence directe sur les politiques nationales de sécurité des pays concernés, mais aussi des pays voisins. On sait par exemple que les petits États insulaires ainsi que les États avec un trait de côte étendu seront particulièrement sujets à une dégradation de leur intégrité territoriale."
Le changement climatique, confirme Maplecroft, une société d’analyse des risques mondiaux basée à Bath, en Grande-Bretagne, a des impacts géopolitiques très forts. L'ATLAS 2015 qu'elle vient de publier s'appuie sur des données de risques pour 198 pays sur 26 thèmes dont la vulnérabilité au changement climatique et la sécurité alimentaire, les émissions de gaz à effet de serre, les catastrophes naturelles et la réglementation des conflits.
Le rapport plutôt alarmiste constate une combinaison inquiétante entre le changement climatique et l’insécurité alimentaire qui amplifient les risques des conflits et de rébellions dans 32 pays.
Par ailleurs, un rapport récent publié par le Pentagone identifie le climat comme un multiplicateur de menaces aggravant les risques de conflits et de troubles à travers le monde.
Une autre étude du chercheur américain Marshall Burke, de Stanford, quantifie même cet accroissement du risque de conflits. Selon lui, 1°C supplémentaire produit une augmentation de 2,4% des bagarres entre individus et de 11,3% des conflits entre groupes.
Personne ne pourra faire mourir le dessin politique, moyen d'expression populaire essentiel. Ses formes sont multiples. Ainsi un gros album de bande dessinée (240 pages) est en projet sur la résolution par la non-violence de conflits en cours. Tout un chacun peut participer à son financement.
Comme l'explique le site des Dessin'Acteurs, association qui regroupe des auteurs désireux de se mettre au service de la Solidarité, du Dialogue et d'Alternatives concrètes, cet ouvrage présentera des solutions non-violentes pour la résolution de conflits afin de les faire connaître au grand public.
Cette BD de fiction de 240 pages sera le fruit de nombreuses rencontres de militants associatifs, des Faucheurs Volontaires aux activistes d'Hébron en Palestine, en passant par la Bosnie et le Gabon.
Pour financer ce projet, tout en gardant leur indépendance éditoriale, les deux auteurs ont lancé une campagne de financement participatif sur le site Ulule. Vous avez jusqu'au 15 mars 2015 pour jouer les mécènes de l'action non-violente.
http./fr.ulule.com/ahimsa-l-instantneige/
Isabelle Pypaert Perrin, déléguée générale d'ATD Quart-Monde, offre cette belle histoire sur le site du mouvement.
Il y a ces insultes sur le mur à la vue de tous. La cible ?
La famille du deuxième étage.
Chaque jour, passer devant cette agression.
Chaque matin, baisser les yeux avant de prendre le bus pour aller au boulot.
Chaque matin, sur le chemin de l'école, fuir ces mots qui résonnent dans la tête.
Il y a aussi les soupirs, les ricanements, les menaces, autant de coups de poings venant blesser encore un peu plus cette famille, déjà si meurtrie.
Violence extrême d'un voisinage désemparé, qui vit plus que sa part de difficultés.
Et puis, il y a cette belle histoire, celle de Noël dernier.
Quelques jours avant le réveillon, la maman est venue à la maison Quart Monde :
« Aidez-nous ! », nous lance-t-elle.
« Aidez-nous à changer quelque chose. Pour tous, ça sera la fête mais pas pour nous !
On ne veut pas de cadeau. Juste qu'on efface ces insultes. »
Alors, les volontaires sont allés frapper à quelques appartements, ils ont proposé aux voisins de faire quelque chose ensemble. Ainsi un, puis deux, puis trois d'entre eux sont descendus pour rejoindre la maman et quelques amis du Mouvement.
Ce fut le grand nettoyage dans la cage d'escalier. Les balais, la serpillière, les murs repeints. Des boules rouges, des guirlandes scintillantes, des rires.
Il y a eu des paroles échangées entre personnes qui ne se parlaient plus.
Moment magique. Lumière au milieu de la nuit où la solidarité du quotidien, si exigeante, se tisse à nouveau. Quel plus beau cadeau que la paix et la fierté retrouvées ?
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Pour faire un don à ATD Quart Monde, cliquez ici.
Merci !
Isabelle Pypaert Perrin
Déléguée générale
Défendre la liberté d'expression, redonner une « identité propre à la ville », limiter les consommations d'énergie (le mobilier urbain servant de support d'affichage, est exempt de la réglementation sur la pollution lumineuse), les raisons ne manquent pas d'agir contre les formes de publicité actuelles et la place qu'elles occupent dans l'espace public.
Les revendications des Reposeurs, bien que centrées sur le métro, s'inscrivent dans une opposition globale à toute les formes d'agression publicitaire. Aussi nous félicitons l'équipe municipale de Grenoble et nous tournons vers nos élus franciliens. À quand une vraie politique de restriction et contrôle de la publicité dans le métro ?
Vous pouvez vous joindre à nous et féliciter Monsieur Piolle et son équipe en envoyant un courrier à cette adresse : Monsieur le Maire, Hôtel de ville de Grenoble, 11 boulevard Jean Pain, CS 91066, 38021 Grenoble Cedex 1
28 hectares de bois ont déjà été abattus, soit 35 % du total prévu. Sur les 200 hectares dégagés, le projet prévoit une "ville" touristique de 6000 habitants avec environ mille cottages.
Tout ceci malgré l'avis défavorable de la commission d'enquête publique "Loi sur l'eau", émis après l'audition des experts et l'étude des observations des habitants.
Pédagogue de profession, j'aime cette idée que nous puissions collaborer, lecteurs/lectrices, expert/e/s, pour partager nos questions, mettre en commun nos réflexions et mutualiser nos ressources pour agir au quotidien là où nous vivons.
Marie-Anne Divet